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Par ozy le 24 Janvier 2013 à 00:00
Une chose est sûre
La beauté est visible à l’œil nu....
Mais il vaut mieux laisser au cœur
Une chance de la trouver...
Beaucoup préfèrent abandonner
Savez- vous pourquoi ?
Les roses éclosent au printemps
Et se fanent à l’automne
Elles essaient à tout prix de nous ressembler
Elles montrent l’étendue de leur charme chaque jour
Mais quand vient le jour où elles réalisent
Qu’elles ne vous gâtent plus
Emportées par la déception.....
Elles se fanent.....
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Par ozy le 23 Janvier 2013 à 00:00
J’ai perdu mes repères
Je les cherche en vain.....
Où sont-ils ? Sur cette mer ?
Mais je ne les vois point !
Je navigue dans le temps
Dans des rêves un peu flous !
J'évite le néant
Que font trop de remous !
L’aventure m'attireJe ne sais où je vais !
Dans mon délire, un jour
Pourrais-je aimer ?
Sur mon cœur de papier
Je vois mon passé
S’effaçant doucement.....
Dans le temps naviguant
Pour joindre mon amour
Je fais des pas de géant
Sur aller sans retour.......
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Par ozy le 22 Janvier 2013 à 00:00
Je regardais par la fenêtre perdue dans mes pensées,
Un livre à la main.
Les rideaux étaient encore ouverts malgré
La nuit tombée et de l’autre coté de la rue,
Le vent étalait les feuilles mortes en longues trainées près du banc
Où quelquefois j’allais m’asseoir
Dans le halo du réverbère on aurait dit des squelettes miniatures.
Cela me faisait une drôle d’impression
Comme si je violais l’intimité de quelqu’un...
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Par ozy le 21 Janvier 2013 à 00:00
Il y a des enfants qui ne seront jamais des enfants.
Des enfants misères,
Des enfants couleurs,
Des enfants qui parlent de justice et qui n'ont pas dix ans, le poing fermé, la fleur aux dents.
il y a des enfants qui ne seront jamais des enfants
Des enfants qui n'ont rien vu au-delà du coin de leur rue mais qui en savent déjà trop long;
Ils ont regardé le monde dans ses poubelles
Et ils ont décidé qu’il n'y avait pas d'autre solution
Que d’utiliser le système et ses idées télévision,
Des idées à mordre comme les autres dans la consommation
Et d’exploiter comme l’exploitant et de devenir très vite grands, grands et méchants.
Il y a des enfants qui ne seront jamais des enfants.
Des enfants qui n'ont plus d’espoir,
Des enfants idées-noires,
La peau peinte dans la même teinte
Qui voudraient bien la rosir
Pour peut-être un jour s’en sortir.
Il y a des enfants en guerre,
Des enfants-fusils, des enfants-bâtons,Des enfants mains-nues.
A tous les jeux de société
Ils seront toujours les voleurs
Courant à la recherche d’un morceau de leur cœur.
Il y a des enfants qui ne seront jamais des enfants.
Des enfants maigres
Qui font les travaux des hommes,
Qui font les saloperies des hommes, au-dessus de leur force
Au-dessus de leur raison.
Il y a des enfants qui ne seront jamais des enfants.
Des enfants qui vivent en camp,
Des enfants qui vivent en cage, des enfants torturés.
Il y a des enfants qui n’ont que la peau sur les os, la peau et les os.
Et par-dessus leur petit squelette de vieillard,
Des yeux qui mangent leur visage et nous regardent dans nos journaux.Ce texte n'est pas de moi, il va certainement choquer certains d’entre vous, un risque à prendre
Je l'ai trouvé sur le net et je l’ai recopié car il m'a paru refléter la confusion totale qui règne en ce moment en France..et dans les pays dits « riches »
Les inégalités surtout, certes il n'est pas beau de pourrir la vie des citoyens honnêtes, de pirater leur CB, de dealer et tout ce que vous savez...
Je ne cautionne pas mais ont-ils vraiment le moyen de faire autrement : pas de boulot, pas de diplôme (çà c'est de leur faute) et même s'ils en avaient personne ne les voudrait à cause de leur couleur de peau et de leur langage..( c’est aussi de leur faute).
Alors où se trouve la solution ???
A MEDITER
18 commentaires -
Par ozy le 20 Janvier 2013 à 00:00
La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un bois.
Plus de chansons dans l'air, sous nos pieds plus de chaumes.
L'hiver s'est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l'horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu'elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s'empresse à nous quitter.
Et froids tombent sur nous les rayons qu'elle darde,
Fantastiques lueurs qu'elle s'en va semant ;
Et la neige s'éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.
Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur œil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas.
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Par ozy le 19 Janvier 2013 à 00:00
La vie est comme un grand banquet servi sur un plateau .....
Bien sûr, il y a parfois beaucoup d’embûches à franchir avant de pouvoir accéder à ce menu....
Alors, sans attendre , essayons de mettre les bouchées doubles....
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Par ozy le 18 Janvier 2013 à 00:00
Elle est taquine, elle est jeune
Il est passionné et plus âgé
Elle l’aime à sa façon
Mais ne veut pas être dominée
Elle pleure quand il part
Elle redevient petite fille
Elle le guette à la fenêtre
Comme le ferait un enfant
Elle rit quand il revient
Se love dans ses bras
Elle n’en veut pas d’autres...
C’est lui que son cœur a choisi
Mais elle taquine encore et encore
Donc........
Elle pleure quand il part
Elle rit quand il revient
.........
Et çà n’en finit pas
Elle ne comprend pas encore qu’il vieillit et se lasse
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Par ozy le 17 Janvier 2013 à 00:00
Danser, un merveilleux passe temps,
Une rupture momentanée avec le présent,
Un moment où l’on consacre son temps
Que ce soit passion ou loisir
Toujours prêt à garder le sourire
Quelquefois même, selon sa vie, se forcer
....
Mais ces passionnés
N’abandonnent jamais
La musique bourdonne
Les talons claquent
Les cœurs virevoltent
Au vent léger des notes
Qui, dans son tourbillon,
Emporte tout à son gré.......
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