•  

                                                                                                              plume-copie-1

      

     

                                                                   

                                                                  Que ma plume vous apprenne

     

    ce que ma bouche ne peut vous dire

     

    et que mon cœur voudrait

     

    signer de son sang.

     

     

     

    Alfred de Musset

     

     


    10 commentaires
  •  

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une fumée aux  parfums d’encens

     

    Flotte autour de la boule de cristal...

     

    Dans la pièce sombre,

     

    On distingue une longue silhouette ondoyante,

     

    Une opulente chevelure rousse...

     

    Et parfois ....un éclair  ....

     

    Des yeux verts comme des émeraudes.

     

    Ne vous y aventurez pas,

     

    Vous y perdriez votre âme...

     

     


    20 commentaires
  •  

     

     

     

     

    Elle, c’est l’apprentie-fée.

     

    Un peu magique, un peu enfant, envoûtante,  un peu dangereuse  mais désarmante.

     

    La fée est jeune, elle a du talent, mais bien trop dissipée.

     

    Elle est un peu amoureuse de l'apprenti-sorcier...

     


    12 commentaires
  •  

     

     

     

     

    Par trop de misère....

     

    Trop d'orphelins....

     

    Trop de malades qui n'ont pas les moyens de se soigner...

     

    Trop d'inégalités...

     

    Trop d'enfants qui n'ont pas accès à l'école....

     

    Trop d'enfants qui sont confrontés sans arrêt ..à la guerre

     

    Trop de gens qui meurent de faim...

     

    Trop d'enfants qui doivent travailler....

     

    Trop de droits qui ne sont pas respectés....

     

    Trop de personne souffrantes qui sont oubliées...

     

    Trop d'intolérance...

     

    Trop d'égoïsme....

    Trop de souffrance....

     

    Trop de lâcheté...

     

    Trop de fascisme....

     

     Trop de cruauté...

     

    Trop de guerres...

     

      Trop de vies brisées....

      Trop d’illettrisme...

      Trop d'injustices....

      Trop d'indifférence...

      Trop de préjugés...

     

     


    15 commentaires
  •  

    BL-MARIN.jpg

     

    B. Lavilliers sur son bateau "le Corto Maltese"  avec lequel il est parti à la Jamaïque 

     poète, rebelle, insoumis ........ et quel talent !

     

     

    La musique est un mystère

    Qui me prend comme la mer
    Je navigue en solitaire - parfois.

    Quand la douleur exagère

    Que tout me paraît amer
    J'essaie une chanson d'amour - Pour toi.

    Tu as peur de moi sans doute
    Tu ne dis rien - Tu écoutes -

    Ce qui vient de loin
    De plus loin que moi.

    Son nom - Solidaritude

    C'est une question d'altitude
    Il fait froid - J'ai l'habitude - Tu vois.

    Quand ta main sur moi se pose

    Ma douleur alors repose
    Ou bien se métamorphose - S'en va.

    Je voulais plus aimer personne

    Je voulais plus rien qu'on me donne
    Mais ça vient de loin

    C'est plus fort que moi

    Tu arrives comme un chat

    Sans un bruit tu restes là
    Sans paroles - Sans cinéma - Pour moi.

    Quand je t'ai vue - Je savais
    Que la chance revenait.
    Tu existes - Tu es là - Avec moi.


    Je voulais plus aimer personne
    Je voulais plus rien qu'on me donne

    Mais ça vient de loin

    C'est plus fort que moi.


    La musique est un mystère

    Qui me prend comme la mer
    Je navigue en solitaire - Parfois.

     

     

     

     

     


    15 commentaires
  •  

     

     

     

     

     

       La réalité n'existe pas (ou n'existe plus...)...    

    l 'opinion n'existe pas non plus.


    N'existent que les sondages, que l'on triture comme

    on veut et qui déterminent l'opinion qui détermine

    la  réalité.

     



    13 commentaires
  •  

     

     

     

     

     

    Deux pétales de rose, mes lèvres ont laissé

     

    Elles se sont posées sur le coin de la bouche,

     

    Tes paupières mi closes laissent tomber des larmes

     

    Hésitant, puis sur ma main venant s’écraser

     

    L’amour m’inonde alors que tu murmures

     

    Tous ces mots merveilleux qui submergent mon cœur

     

    Puis la nuit peu à peu s’empare de la ville

     

    Réveillant doucement les fantômes endormis

     

    Dont les yeux noirs soudain dans l’obscurité brillent

     

    Et qui au moindre bruit subitement s’enfuient

     

    Mais la nuit est à nous, rien ne peut nous l’ôter

     

     

     


    18 commentaires
  •  

     

     

     

    On voyage autour du monde

     

    à la recherche de quelque chose

     

    et on rentre

     

    chez soi pour le trouver

     

     

    G. Moore

     


    8 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique