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    Soleil  d'automne


    Les arbres roux se dénudent


    De leurs feuilles rouges

     

     


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    Je suis seule et  je marche

     

    Dans cette nuit étoilée....

     

    Mystérieuse.....

     

    Sur le clair rivage de cette  île...

     

    Sur le chemin d’un rêve enfui....

     

    Mes pas sur  le sable mouillé

     

    Laissent   une empreinte......

     

    Celle de mes souvenirs.....

     

    Le temps ne pourra les effacer...

     

    ni la mer les recouvrir.....

     

     

    J'ai froid....

     

     

     

     


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    Vous savez ce que les désirent plus que tout ? Plus que

     

    l’amour, plus que l’argent, plus que la paix sur terre ?

     

     Ils veulent se sentir normaux.

     

    Ils veulent avoir le sentiment que leurs émotions, leur

     

    vie, leurs expériences sont semblables à celles de tout

     

    le monde.

     

    C’est çà qui nous fait courir..

     

    Nous n’avons pas envie de nous sentir bizarres,

     

    différents ou à part.

     

    Nous voulons nous sentir comme n’importe qui ou du

     

    moins comme nous devrions être à en croire les pubs

     

    pour le Botox, le Viagra ou le rachat des crédits.

     

    Dans cette quête de normalité nous ignorons ce que

     

    nous devons ignorer .

     

    Nous cachons ce que nous devons cacher.

     

    Fermons les yeux chaque fois que c’est nécessaire

     

    pour pouvoir nous cramponner à notre illusion d’un

     

    bonheur parfaitement réglé.

     

     

    Ozy


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    J'crois que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
    Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
    Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
    Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.
    Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins,
    Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'œil impuissant des témoins,
    Les témoins c'est tes potes qui te disent au revoir sur le quai,
    Ils regardent le train s'éloigner avec un sourire inquiet,
    Toi aussi tu leur fais signe et tu imagines leurs commentaires,
    Certains pensent que tu te plantes et que t'as pas les pieds sur terre,
    Chacun y va de son pronostic sur la durée du voyage,
    Pour la plupart le train va dérailler dès le premier orage.
    Le grand amour change forcément ton comportement,
    Dès le premier jour faut bien choisir ton compartiment,
    Siège couloir ou contre la vitre il faut trouver la bonne place,
    Tu choisis quoi une love story de première ou d'seconde classe.
    Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage,
    Tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages,
    Tu te sens vivant tu te sens léger tu ne vois pas passer l'heure,
    T'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le contrôleur.
    Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bat de l'aile,
    Toi tu te dis que tu n'y es pour rien et que c'est sa faute à elle,
    Le ronronnement du train te saoule et chaque virage t'écœure,
    Faut que tu te lèves que tu marches tu vas te dégourdir le cœur.
    Et le train ralentit et c'est déjà la fin de ton histoire,
    En plus t'es comme un con tes potes sont restés à l'autre gare,
    Tu dis au revoir à celle que tu appelleras désormais ton ex,
    Dans son agenda sur ton nom elle va passer un coup de tippex.
    C'est vrai que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
    Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
    Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
    Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.
    Pour beaucoup la vie se résume à essayer de monter dans le train,
    A connaitre ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain,
    Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure,
    Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur.
    Il est facile de prendre un train encore faut il prendre le bon,
    Moi je suis monté dans deux trois rames mais c'était pas le bon wagon,
    Car les trains sont capricieux et certains sont inaccessibles,
    Et je ne crois pas tout le temps qu'avec la SNCF c'est possible.
    Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grèves,
    Et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves,
    Et y'a ceux qui foncent dans le premier train sans faire attention,
    Mais forcément ils descendront déçus à la prochaine station,
    Y'a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives,
    Pour elles c'est trop risqué de s'accrocher à la locomotive,
    Et y'a les aventuriers qu'enchainent voyages sur voyages,
    Dès qu'une histoire est terminée ils attaquent une autre page.
    Moi après mon seul vrai voyage j'ai souffert pendant des mois,
    On s'est quitté d'un commun accord mais elle était plus d'accord que moi,
    Depuis je traine sur les quais je regarde les trains au départ,
    Y'a des portes qui s'ouvrent mais dans une gare je me sens à part.
    Il parait que les voyages en train finissent mal en général,
    Si pour toi c'est le cas accroche toi et garde le moral,
    Car une chose est certaine y'aura toujours un terminus,
    Maintenant tu es prévenu la prochaine fois tu prendras le bus

     

     

     

     

    Grand Corps Malade

     


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    Si la naissance comme la mort

     

    sont deux expériences

     

    qui ne se partagent pas,

     

    si notre entrée et notre

     

    sortie dans ce monde

     

    doivent être marquées du sceau

     

    d’un inévitable isolement,

     

    autant chérir ce qui,

     

    entre les deux,

     

    nous lie les uns aux autres

     

    même si ce

     

    n’est pas ce qu’il y a de plus beau

     

    chez l’homme

     

     

     

    Nicolas Flamel ( alchimiste 13e siècle )

     


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    Je suis belle, ô mortels ! Comme un rêve de pierre,
    Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour,
    Est fait pour inspirer au poète un amour
    Eternel et muet ainsi que la matière.

    Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris;
    J'unis un cœur de neige à la blancheur des cygnes;
    Je hais le mouvement qui déplace les lignes,
    Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.

    Les poètes, devant mes grandes attitudes,
    Que j'ai l'air d'emprunter aux plus fiers monuments,
    Consumeront leurs jours en d'austères études;

    Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants,
    De purs miroirs qui font toutes choses plus belles :
    Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles!


    Charles Baudelaire, (Les Fleurs du Mal)

     

    enregistré par une amie


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    Celui qui ne comprend pas un

     

     

     

    regard,

     

     

     

    Ne comprendra pas non plus un

     

     

     

    long discours !

                                                                          

     


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    Bon à force de me pousser et de me tirer..... J’ai réussi l’exploit

     

    car en toute honnêteté

     

    le retour de vacances fut si triste (décès de notre voisin et ami)...

      

    Enfin voilà je vous présente un diaporama sur SEVILLE la belle

     

    andalouse

     

    Elle a beaucoup changée, en mieux, notre maire devrait s’en

     inspirer .....

      

    Voies cyclables

     

    Zones piétonnes un peu partout sauf les grands axes,

     

    Feux rouges respectés par les voitures et les piétons alors qu’ici c’est

     

     la cour du Roi Pétaud...

     

    La vie est moins chère qu’en France, les andalous ont conscience

      

    que leur pays bat de l’aile, alors

     

    qu’ici en France c’est chacun pour soi et Dieu pour tous....

     

    Ils font des efforts, quelques manifestations (ce qui est normal)

     

    mais beaucoup de bonne volonté,

     

    Très peu de mendicité alors qu’ici .......... je n’en parle même

     

    pas.....(enfin je me base sur Marseille

     

    C’est toujours pareil  j’espère que chez vous c’est mieux....

     

    Nous avons eu entre 35 et 37°, il valait mieux fréquenter les

     

    zones d’ombres....

     

    Un bon séjour agréable mais difficile de reprendre le collier

     

    Les femmes andalouses sont superbes et très bien habillées, les

     

    touristes on les reconnaissait  à leurs jeans... sinon réservé

     

    gamines....

     

    Les écoliers ont des blouses - par souci d’égalité je pense -

     

    Les rues sont d’une propreté, on  mangerait par terre. Et même

     

    les allemands qui chez eux prennent des PV pour un papier jeté...

     

    respectaient Séville alors qu’ailleurs ils font n’importe quoi ...

      

    C’est toujours la fête dans les rues, fête de la musique, fête du

     

    rire et du sourire et surtout fête du vin  et de la bière.. et des

     

     tapas

     

    J’espère que vous apprécierez ce diaporama et le flamenco qui

     

    l’accompagne

     

    Je vous embrasse

     

    Ozy

     

     

     


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