sur une chanson de Bernard Lavilliers une vidéo ..SOLO

que j'ai pris un immense plaisir à faire......   

  

 

 

 

 

 

 

 

Petite est la maison de l’enfance.....

 

Juste pousser la porte..

 

Pour entrevoir... 

 

Nos bonheurs enfuis...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J'aime trop les

  commencements

  pour savoir aimer

  autre chose. 

 

 

 Natalie Barney

 

 

 

 

 

 

 

On  s’est tous posé  la question au moins une fois : si on nous donnait la chance de revenir en arrière, que changerions-nous dans notre vie ?

 

Si c’était  à refaire, quelles erreurs tenterions nous de corriger, quelles douleurs ?  quels remords ? quels regrets choisirions nous d’effacer ?

 

Oserions-nous vraiment donner un sens nouveau à notre existence ?

Mais pour devenir quoi ?

Pour aller où ?

Et avec qui ?

 

 

 

 

 

  Feuille rousse, feuille folle
Tourne, tourne, tourne et vole !
Tu voltiges au vent léger
Comme un oiseau apeuré.
Feuille rousse, feuille folle !
Sur le chemin de l’école,
J’ai rempli tout mon panier
Des jolies feuilles du sentier.
Feuille rousse, feuille folle !
Dans le vent qui vole, vole,
J’ai cueilli pour mon cahier
La feuille rousse qui dansait.

 

 

                                              Luce FILLOL

 

 

 

 Cette chanson m'a toujours émue, j'ai envie de vous la faire partagez mais vous la connaissez déjà....

 

Ozy

 

 

 

 

 

Quando sono solo sogno all'orizzonte
e mancan le parole
si lo so che non c'è luce
in una stanza quando manca il sole
se non ci sei tu con me
u le finestre
mostra a tutti il mio cuore
che hai acceso chiudi, dentro me
la luce che hai incontrato per strada

Con te partirò paesi che non ho mai
veduto e vissuto con te
adesso sì li vivrò
Con te partirò su navi per mari
che io lo so no, no, non esistono più
con te io li vivrò

Quando sei lontana sogno all'orizzonte
e mancan le parole
e io sì lo so che sei con me
tu mia luna tu sei qui con me
mio sole tu sei qui con me con me con me con me... con me con me

Con te partirò
Paesi che non ho mai veduto e vissuto con te
adesso sì li vivrò
Con te partirò
su navi per mari che, io lo so
no, no, non esistono più
con te io li rivivrò
Con te partirò
su navi per mari che, io lo so
no, no, non esistono più
con te io li rivivrò
Con te partirò...

Io con te!

 

FRANCAIS

Quand je ne rêve de l'horizon
Et les mots manquent
vous savez qu'il n'ya pas de lumière
dans une chambre où le soleil
Si vous n'êtes pas ici avec moi
à la fenêtre
montrer à tous mon coeur
proches de vous, l'intérieur de moi
la lumière que vous rencontrés dans la rue

Vais aller avec vous pour les pays je n'ai jamais
vu ou vécu avec vous
alors maintenant ils vont vivre
Vais aller avec vous sur des navires à travers les mers
Je sais, non, non, n'existent plus
Je vis avec vous, je

Lorsque vous êtes loin, je rêve à l'horizon
Et les mots manquent
je fais et je sais que tu es avec moi
tu es ma lune, sont ici avec moi
Mon soleil, tu es ici avec moi avec moi, avec moi, avec moi ... avec moi;

Vais aller avec vous
Les pays que je n'ai jamais vu ou vécu avec vous
alors maintenant ils vont vivre
Vais aller avec vous
Sur les navires à travers les mers qui, je le sais
non, non, n'existent plus
avec vous je vais en faire l'expérience à nouveau
Vais aller avec vous
Sur les navires à travers les mers qui, je le sais
non, non, n'existent plus
avec vous je vais en faire l'expérience à nouveau
Vais aller avec vous ...

Je suis avec vous!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les petits riens du quotidien sont nos

 

 béquilles.

 

 On a l’impression de surmonter les

 

épreuves jusqu’au jour où l’on

 

s’effondre en constatant qu’il n’y a

 

plus de pain ou que l’on déteste

 

ses chaussures et les larmes qui nous

 

submergent alors semblent

 

intarissables......

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les gens se croient toujours plus forts que la drogue, qu’il s’agisse de rock star en couches culottes, de zonards qui tiennent les murs ou de ménagère en bons termes avec leur pharmacien.

 

La drogue les observe tout d’abord d’œil doux et amusé avant de les empoigner par le colbac et de leur botter le cul

 

Il arrive un moment où ce n’est plus à l’être humain qu’on parle mais seulement à la drogue, un stade où tous les camés adoptent le même discours pour la raison que la drogue est sournoise, vicieuse, amorale en un mot INVINCIBLE