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    Elle, c’est l’apprentie-fée.

     

    Un peu magique, un peu enfant, envoûtante,  un peu dangereuse  mais désarmante.

     

    La fée est jeune, elle a du talent, mais bien trop dissipée.

     

    Elle est un peu amoureuse de l'apprenti-sorcier...

     


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    Par trop de misère....

     

    Trop d'orphelins....

     

    Trop de malades qui n'ont pas les moyens de se soigner...

     

    Trop d'inégalités...

     

    Trop d'enfants qui n'ont pas accès à l'école....

     

    Trop d'enfants qui sont confrontés sans arrêt ..à la guerre

     

    Trop de gens qui meurent de faim...

     

    Trop d'enfants qui doivent travailler....

     

    Trop de droits qui ne sont pas respectés....

     

    Trop de personne souffrantes qui sont oubliées...

     

    Trop d'intolérance...

     

    Trop d'égoïsme....

    Trop de souffrance....

     

    Trop de lâcheté...

     

    Trop de fascisme....

     

     Trop de cruauté...

     

    Trop de guerres...

     

      Trop de vies brisées....

      Trop d’illettrisme...

      Trop d'injustices....

      Trop d'indifférence...

      Trop de préjugés...

     

     


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    BL-MARIN.jpg

     

    B. Lavilliers sur son bateau "le Corto Maltese"  avec lequel il est parti à la Jamaïque 

     poète, rebelle, insoumis ........ et quel talent !

     

     

    La musique est un mystère

    Qui me prend comme la mer
    Je navigue en solitaire - parfois.

    Quand la douleur exagère

    Que tout me paraît amer
    J'essaie une chanson d'amour - Pour toi.

    Tu as peur de moi sans doute
    Tu ne dis rien - Tu écoutes -

    Ce qui vient de loin
    De plus loin que moi.

    Son nom - Solidaritude

    C'est une question d'altitude
    Il fait froid - J'ai l'habitude - Tu vois.

    Quand ta main sur moi se pose

    Ma douleur alors repose
    Ou bien se métamorphose - S'en va.

    Je voulais plus aimer personne

    Je voulais plus rien qu'on me donne
    Mais ça vient de loin

    C'est plus fort que moi

    Tu arrives comme un chat

    Sans un bruit tu restes là
    Sans paroles - Sans cinéma - Pour moi.

    Quand je t'ai vue - Je savais
    Que la chance revenait.
    Tu existes - Tu es là - Avec moi.


    Je voulais plus aimer personne
    Je voulais plus rien qu'on me donne

    Mais ça vient de loin

    C'est plus fort que moi.


    La musique est un mystère

    Qui me prend comme la mer
    Je navigue en solitaire - Parfois.

     

     

     

     

     


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       La réalité n'existe pas (ou n'existe plus...)...    

    l 'opinion n'existe pas non plus.


    N'existent que les sondages, que l'on triture comme

    on veut et qui déterminent l'opinion qui détermine

    la  réalité.

     



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    Deux pétales de rose, mes lèvres ont laissé

     

    Elles se sont posées sur le coin de la bouche,

     

    Tes paupières mi closes laissent tomber des larmes

     

    Hésitant, puis sur ma main venant s’écraser

     

    L’amour m’inonde alors que tu murmures

     

    Tous ces mots merveilleux qui submergent mon cœur

     

    Puis la nuit peu à peu s’empare de la ville

     

    Réveillant doucement les fantômes endormis

     

    Dont les yeux noirs soudain dans l’obscurité brillent

     

    Et qui au moindre bruit subitement s’enfuient

     

    Mais la nuit est à nous, rien ne peut nous l’ôter

     

     

     


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    On voyage autour du monde

     

    à la recherche de quelque chose

     

    et on rentre

     

    chez soi pour le trouver

     

     

    G. Moore

     


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    Elles marchaient sur le trottoir

     

    Chaloupant comme un chat noir

     

    Qui aurait aperçu sa proie

     

    Robes et écharpes de soie

     

                                                              Longues bottes et grands manteaux

     

    C'était  les  femmes aux chapeaux  

     

     

    Tranquille  j’arpentais la rue

     
     

      Quand je les ai aperçues

     

    Ces femmes aux chapeaux

     

    Sorties droit d’une histoire du XIXe siècle

     

    Ravissantes inconnues........
     

    Jadis héroïnes de Lamartine ou de Musset

     

    Ou l’amour côtoyait toujours la haine

     

    Elles sont de retour

     

    Pour le plus grand plaisir de ces messieurs

     

    Ces femmes aux chapeaux très féminins

     

    Vive la mode des femmes chapeautées de grâce

     

     

     

     



     

     


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    Nous avons eu nos nuits comme çà 

     

    Moi et Moi

    À contempler le ciel, la lune, les étoiles

      

       Lorsque je nous revoie

      

                                   Je pense souvent

     

     

                                           Qu’on perdait  nôtre temps à rêver 

    au prince charmant 

     

    Qui viendrait nous enlever 

    sur son fier destrier

     

    Et nous emporter, nous emporter, 

    nous emporter

     

    Tout ceci est issu de contes de fées 

     

    Les petites filles sont

    de charmantes rêveuses 

     

    Et puis la vie passe qui ....... 

     

    Les pieds sur terre nous remet ……

     

     

     


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