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    Un jean flashy,  une jupe mini, des talons japonais


    Des favelas et des J.O. 2016  à Rio

     

     Contraception et cannabis

     

      Sans Domicile Fixe et Restos du coeur 

     

     

    Un p'tit oiseau de toutes les couleurs


    Un nouveau Deep,  qui brûle les planches


    un Women’s Lib,  un Jean Paul Gaultier kitsch

     

      Des cheveux courts, des idées plus longues 

     

    Plus  de Sorbonne, une Université 13

     

     

     

    Un Stade de France, un Séisme au Japon  

      

    Une course à la présidence relevant de l'école primaire,

    désolant.....

       

             Et nous changeons de Président.....

     

    Une alternance est peut-être nécessaire ?

     

     

           Je ne fais jamais de politique ....


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    C'est bien planqué au fond de l'âme
    C'est un frisson au goût amer
    Ce n'est pas les violons du drame
    Ca met du gris dans tes yeux verts

    Ce n'est pas la mélancolie - mais encore
    Ce n'est pas le blues infini - mais encore
    C'est pas non plus la mélodie - de la mort
    Des accords et encore

    C'est une femme entr'aperçue dans un port
     Une mélodie dont on n'a plus les accords
    C'est un poème très ancien sur l'amour,

    Sur la vie et la mort

    Si la Saudade est dans les nuages - le parfum subtil
    De la nostalgie
    Elle a le visage de lointains voyages - c'est un grand voilier
    Qu'on n’a jamais pris - qu'on n’a jamais pris

    Ca vient de loin et en douceur
    Cette douleur qui sent la marge
    C'est comme un souffle sur ton coeur
    Ca porte un joli nom ....Saudade

    Si tu ne la vois pas venir - elle te voit
    Si tu essayes de la fuir - oublies ça
    Et même si tu veux en finir - Elle veut pas
    Elle se serre contre toi

    C'est la maitresse  des musiciens - des poètes
    C'est la frangine des vauriens - de la fête
    Elle est planquée dans les plus belles mélodies
    Quand elle pleure, elle sourit

    Si la Saudade est dans les nuages - le parfum subtil
    De la nostalgie
    Elle a le visage de lointains voyages - c'est un grand voilier
    Qu'on n’a jamais pris - qu'on n’a jamais pris

     

     


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    Un souffle d’amour caressera ma peau

     

    Tu fréquenteras mes rêves pour les rendre plus beaux.....

     

    Je te répondrai par une invitation

     

    Pour satisfaire le feu de ta passion

     

    Tu ouvriras grands tes bras

     

    Sur  mes lèvres gourmandes

     

    Ta bouche se posera

     

    Tu seras mon amant....

     

    Si tu t’attaches à moi tu te perdras

     

    Ne suis-je pas ta tentation de Venise ?

     

    Ce rêve inaccessible que l’on n’assouvit jamais.....

     

    Quittes mes rêves  doucement

     

    Mais gardes sur ton corps mon parfum

     

    enivrant

     

     Tableau de Jim Warren 

     


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    Dans cette sombre clarté.......

     

    Une douce souffrance émanait de son être.....

     

    Étouffant ses pleurs, dans ce silence assourdissant

     

    Pour cet amer bonheur.....

     

    Il pensa à elle, qu’il aimait haineusement.....

     

    Et dans l’obscurité claire....

     

    De ce soleil lunaire.....

     

     D’un grand coup sec , il leva son poignard et le plongea dans son coeur qui ne battait déjà plus.....

     

    Et hurla  sa détresse avec un rire triste :

     

    Qu’ai-je fait de ma vie ???????

     

     


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    Il était une fois, une ile où tous les différents sentiments vivaient :
    le Bonheur,
    la Tristesse,
    le Savoir,
    ainsi que tous les autres,
    l'Amour y compris.

    Un jour on annonça aux sentiments que l'ile allait couler.


    Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent.


    Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.


    Quand l'ile fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide.


    La Richesse passait à coté de l'Amour dans un luxueux bateau.
    L'Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?"
    "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau.
    Je n'ai pas de place pour toi."


    L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, "Orgueil, aide moi je t'en prie ! "
    "Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau."


    La Tristesse étant à coté, l'Amour lui demanda, "Tristesse, laisse-moi venir avec toi. ".
    "Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !"


    Le Bonheur passa aussi à coté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas l'Amour l'appeler !


    Soudain, une voix dit, " Viens Amour, je te prends avec moi. "
    C'était un vieillard qui avait parlé.


    L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard.


    Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.

    L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir
    "Qui m'a aidé ?"

    "C'était le Temps" répondit le Savoir.


    "Le Temps ?" s'interrogea l'Amour.
    "Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"


    Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit :


    "C'est parce que seul le Temps est capable de comprendre
    combien l'Amour est important dans la Vie."

     

     

     

     

    (conte pris sur un PPS)

     


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      Une vieille légende indienne raconte qu'un brave homme trouva un jour un oeuf d'aigle et le déposa dans le nid d'une « poule de prairie ».

     
    L'aiglon vit donc le jour au milieu d'une portée de poussins de prairie
    et grandit avec eux.

    Toute sa vie l'aigle fit ce qu'une poule de prairie fait
    normalement.

    Il chercha dans la terre des insectes et de la
    nourriture.

    Il caqueta de la même façon qu'une poule de prairie.
    Et lorsqu'il volait, c'était dans un nuage de plumes et sur
    quelques mètres à peine.

    Après tout, c'est ainsi que les poules de prairie sont censées
    voler.
    Les années passèrent.

    Et l'aigle devint très vieux.

    Un jour, il vit un oiseau magnifique planer dans un ciel sans nuage.


    S'élevant avec grâce, il profitait des courants ascendants,
    faisant à peine bouger ses magnifiques ailes dorées.

    "Quel oiseau splendide !" dit notre aigle à ses voisins.
    "Qu'est-ce que c'est ?"

    "C'est un Aigle, le roi des oiseaux," cacqueta sa voisine.


    "Mais il ne sert à rien d'y penser à deux fois. Tu ne sera jamais
    un aigle."

    Ainsi l'aigle n'y pensa jamais à deux fois.

    Il mourut en pensant qu'il était une poule de prairie.

    Vous est-il arrivé de penser 

    Que vous étiez une poule de prairie ?

    Ou plutôt un aigle ??

     

     

     

     


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