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Par ozy le 24 Septembre 2012 à 00:00
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Elle m’appelle et me fascine, elle a laissé très loin ses îles, la mer,
Grandes marées et grands naufrages, c’est une idée du fond des âges, la mer,
Elle est la voix des trépassés, sur les brisants la nuit tombée, la mer,
Elle rassure ou elle fait peur, elle est de toutes les couleurs, la mer,
Quand je déroule sur la plage, mon corps fatigué de sauvage, la mer,
Elle me raconte qu’avant moi, d’autres hommes ont perdu la voie, sur terre,
J’écoute sa voix, son tempo, et les sirènes des cargos, dans l’air,
Ces quelques mots pour Atlantide, à l’heure où la vie est liquide, amère
......
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Par ozy le 23 Septembre 2012 à 00:00
La vérité vaut bien
qu’on passe quelques années
sans la trouver.......
Jules Renard
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Par ozy le 22 Septembre 2012 à 00:00
la brume ce matin
recouvre le jardin
l’automne est là,
j’entendais ses grands pas
depuis quelque temps déjà........
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Par ozy le 21 Septembre 2012 à 09:49
Si vous n’utilisez pas votre sourire,
vous êtes pareil à un homme
qui aurait en banque des millions de dollars,
mais pas de chéquier.
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Par ozy le 20 Septembre 2012 à 09:47
Un an......
Je n'ai rien pu oublier,
De cette soirée où j’étais allée m’amuser
Je n'avais pas tout de suite remarqué,
Assis au bar avec ses amis,
Ce jeune homme qui me regardait
Et qui me souriait.
La soirée se poursuivit sans souci,
Je partis vers la fin de la nuit,Traversant les ruelles sombres et encombrées,
Je le remarquais qui me suivait,
Je me mis à courir
il me rattrapa,
et me dit de me taire,
M’attacha, me frappa
Je pleurais tandis que lui riait,
Quand je criais, il me menaçait,
Ses mains se baladaient sur mon corps,
Me déshabilla, me toucha,
M'embrassait, me caressait,
Je sentais qu'il ne s'arrêterait pas là,
Je gémis, je criais, je hurlais...
Mais personne n’entendit,
Il n'y avait personne,Collé à moi, l’homme
Continuait de m'embrasser.
Sans me caresser, violemment il me pénétra...Je hurlais
Je l'entendais gémir
Pendant que je pleurais,
Des bruits de pas se rapprochaient,
Il prit peur et me laissa ...
Ma vie détruite..... À jamais
J’arrivais enfin à me lever,
Me rhabillais et rentrais.
Je devais me laver vite viteJ’étais sale, j’étais souillée
Je n'étais plus moi ....
http://www.sosfemmes.com/violences/viol_menu.htm
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Par ozy le 19 Septembre 2012 à 00:00
Prends le temps d’aimer : le secret de l’éternelle jeunesse
Prends le temps de rire : c’est la musique de l’âme
Prends le temps de pleurer : c’est l’émotion d’un grand cœur
Prends le temps de lire : c’est la source du savoir
Prends le temps d’écouter : c’est la force de l’intelligence
Prends le temps de penser : c’est la clef de la réussite
Prends le temps de jouer : c ‘est la fraicheur de l’enfance
Prends le temps de rêver : c’est un souffle de bonheur
Prends le temps de vivre car le temps passe vite
........et ne revient jamais
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Par ozy le 18 Septembre 2012 à 00:00
Pourquoi dit-on d’un homme "beau comme un dieu" ?
Pourquoi qualifie-t-on une femme de "beauté divine" ?
la beauté physique exprime-t-elle une perfection intérieure ?
mais .......savez-vous tout
ce qui peut se cacher de perversité derrière un beau visage ??
j’ai choisi cette image prise comme dab sur le net car cette nana a le visage de ma nièce... mais ma nièce est super gentille
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Par ozy le 17 Septembre 2012 à 00:00
Parlons d'abord d'égalité,
Egalité des chances
Egalité des droits
Pas celle qui plombe à la naissance
Parce que celle la c'est chacun pour soi
Parlons aussi fraternité
D'où que tu viennes bienvenue chez moi
En sachant qu'il faut respecter
Ceux qui sont venus longtemps avant toi
Et puis allons danser pour oublier tout ca
Allons danser personne n'y croit
Allons danser même sur n'importe quoi
Mais allons danser et ca ira
Dire aux hommes qu'ils se sont échoués
Qu'on peut refaire sa vie plusieurs fois
Sans un mot tout recommencer
Se prendre en charge et pas charger l'état
Dire aux enfants qu'on va changer
L'éducation qu'ils ont par celle qu'ils n'ont pas
Ajouté qu'il faut travailler
Riche et célèbre, c'est comme un chèque en bois
Parlons enfin des droits acquis
Alors que tout tout passe ici bas
Il faudra bien qu'on en oublie
Sous peine de ne plus jamais avoir de droits
Admettons enfin vous et moi
Que nous sommes tous des hypocrites
La vérité ne nous plait pas
Alors on a le pays qu'on mérite
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