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Par ozy le 16 Mars 2018 à 00:23
J’ai foi en toi ..
Ne me déçois pas..
Ne me trompe plus, toi l’allié, l’ami voulu, preuve d’amitié, d’amour.
Je te serre contre mon cœur pour te livrer tous mes secrets.
Tu es un allié précieux pour te confier mes chagrins. ...Libérateurs des peines inavouées
Sans inquiétude, tu es mon confident,
Je m’appuie sur ton épaule avec plaisir et confiance
Tu es sans conteste le complice attentif
Au fil du temps je te veux sincère
Mon esprit s'apaise avec toi
Tu sais partager mes souffrances
Comme tu sais apaiser mon cœur triste
J’ai besoin de toi
Je ne veux pas de trahison qui me briserait
Je veux continuer à croire à toi
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Par ozy le 13 Mars 2018 à 00:56
Le lac se trouvait à quelques kilomètres de la ville par une route tortueuse et bordée d’arbres
Le bras de mer scintillant ondulait sous les rayons du soleil
Les bois denses occupaient un coteau au delà d’un pré
Elle posa son vélo
S’enfonça dans la forêt chenue sur un chemin tapissé de feuilles mortes odorantes
Et là elle la vit.......
Cette femme entrevue dans ses rêves ...... sa mère ?......
Un étrange parfum émanait d’elle, pareil à des effluves de violettes fanées
Elle s’avança vers elle, prête à la serrer dans ses bras
La vision s’évanouit .......
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Par ozy le 31 Mars 2017 à 00:05
Saison flétrie,
Feuillages glissant le long des fossés,
Flots de chagrin ruisselant le long
Des visages et creusant la future insomnie.
Sur les ruines du souvenir,
Poussent des idées.... comme
Celle du désir d’abandonner
Cette terre de désespérance où la frousse
Bâillonne la parole des demain inachevés.
Que sommes-nous devenus
Nous qui riions encore hier ..................... ??
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Par ozy le 31 Décembre 2016 à 23:59
Je suis aveuglée.
Je n’y vois rien.
il y a beaucoup trop de lumière pour y voir clair
Mes yeux sont peut-être fermés ou s’agit-il d’un refus de voir ?
à vrai dire, il me semble que je n’ai plus la force ni le contrôle de rationaliser mes sens.
Devant moi, des cris, du feu, trop de feu.
J’ai atrocement chaud, soif, soif, chaud.
Je suis engourdie.
Je n’ai plus de contrôle sur mon corps et j’ai l’angoissante impression de tomber en léthargie.
Un bruit sourd, probablement dû aux explosions me fait sortir de ma torpeur.
Je baisse la tête et jette un regard sur mon corps.
Je suis sale, déchirée et sale.
J’ai toujours eu une personnalité étrange, je crois.
Quel est mon nom ?
Je suis cause et conséquence.
Valeur nécessaire de la limite et de la forme.
Je suis composante ultime de la réalité.
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Par ozy le 31 Décembre 2016 à 23:59
Il faut se souvenir de la naissance étonnante de ce jeune dieu irrespectueux.
Il vit depuis quelques heures à peine lorsqu’il sort de son berceau où sa mère Maïa l'a couché
et va voler les bœufs qui
appartiennent à Apollon, son père qui a violé Maïa -
les cache dans une grotte en prenant soin
d’effacer la trace de leurs sabots,
ramasse une carapace de tortue pour en faire une lyre et
regagne son berceau où il jouera les angelots endormis.
Apollon, lui, se rend compte de la disparition de son bétail.
Il vient se plaindre à Maïa qui n’en croit pas ses oreilles lorsqu’il lui dit :
« Ton fils m’a volé mes bœufs ».
En toute bonne foi, elle affirme l’innocence de son fils.
Hermès ou Mercure , et ce n’est pas un hasard, apparaît comme un dieu au double visage, à la
double nature.
Ailé, léger, ses « talaria » (sandales ailées) aux pieds, rapide comme le vent, il ne pèse pas sur
ce sol qu’il
parcourt pour porter les nouvelles, jouer les messagers et les intermédiaires.
Il représente le joker du jeu de cartes, ludique par excellence, ingénieux et irrévérencieux.
Malin, débrouillard et aérien.
Hermès est le messager des Dieux.
C’est aussi le dieu du commerce
Ce jeune homme aux sandales ailées
est pourtant l’un des dieux les plus affectionnés des mortels
On l’appelle parfois Hermès Psychopompe.
Non, non – cela ne veut pas dire accro aux chaussures ; cela veut dire
«Qui conduit les âmes des morts dans l'autre monde»
en grec ancien…
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Par ozy le 31 Décembre 2016 à 23:59
J’ai appris avec le temps, que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui.
La vie continue et les choses iront mieux demain.
J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents,
tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie .
J’ai appris la différence entre « réussir dans la vie » et « réussir sa vie ».
J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.
J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie
avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper.
Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.
J’ai appris que lorsque je décide avec mon cœur,
c’est généralement une bonne décision.
J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.
J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.
Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras,
ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.
J’ai appris que les gens finissent par oublier
ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait.
(pris sur le net)
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Par ozy le 31 Décembre 2016 à 23:59
Il était une fois sur une montagne, trois arbres qui partageaient leurs rêves et leurs espoirs.
Le premier dit : » Je voudrais être un coffre aux trésors, richement décoré, rempli d’or et de pierres précieuses. Ainsi tout le monde verrait ma beauté « .
Le deuxième arbre s’écria : » Un jour, je serai un bateau solide et puissant, et je transporterai des reines et des rois à l’autre bout du monde. Tout le monde se sentira en sécurité à mon bord « .
Le troisième arbre dit : » Je veux devenir le plus grand et le plus fort des arbres de la forêt. Les gens me verront au sommet de la colline, ils penseront au ciel et à Dieu, et à ma proximité avec eux. Je serai le plus grand arbre de tous les temps et les gens ne m’oublieront jamais « .
Les trois arbres prièrent pendant plusieurs années pour que leurs rêves se réalisent.
Un jour arrivèrent trois bûcherons.
L’un d’eux s’approcha du premier arbre et dit : « Cet arbre m’a l’air solide, je pourrais le vendre à un charpentier « . Et il lui donna un premier coup de hache.
L’arbre était content, parce qu’il était sûr que le charpentier le transformerait en coffre aux trésors.
Le second bûcheron dit en voyant le second arbre : « Cet arbre m’a l’air solide et fort, je devrais pouvoir le vendre au constructeur de bateaux ». Le second arbre se réjouissait de pouvoir bientôt commencer sa carrière sur les océans.
Lorsque les bûcherons s’approchèrent du troisième arbre, celui-ci fut effrayé, car il savait que si on le coupait, ses rêves de grandeur seraient réduits à néant.
L’un des bûcherons s’écria alors : « Je n’ai pas besoin d’un arbre spécial, alors je vais prendre celui-là ». Et le troisième arbre tomba.
Lorsque le premier arbre arriva chez le charpentier, il fut transformé en une simple mangeoire pour les animaux. On l’installa dans une étable et on le remplit de foin.
Ce n’était pas du tout la réponse à sa prière.
Le second arbre qui rêvait de transporter des rois sur les océans, fut transformé en barque de pêche.
Ses rêves de puissance s’évanouirent.
Le troisième arbre fut débité en larges pièces de bois et abandonné dans un coin.
Les années passèrent et les arbres oublièrent leurs rêves passés.
Puis un jour, un homme et une femme arrivèrent à l’étable.
La jeune femme donna naissance à un bébé et le couple l’installa dans la mangeoire qui avait été fabriquée avec le premier arbre.
L’homme ne pouvait offrir un berceau pour le bébé, et cette mangeoire fit l’affaire.
L’arbre comprit alors l’importance de l’événement qu’il était en train de vivre et sut qu’il contenait le trésor le plus précieux de tous les temps.
Des années plus tard, un groupe d’hommes monta dans la barque fabriquée avec le bois du second arbre.
L’un d’eux était fatigué et s’endormit.
Une tempête terrible se leva et l’arbre craignit de ne pas être assez fort pour garder tout son équipage en sécurité. Les hommes réveillèrent alors celui qui s’était endormi.
Il se leva et dit : « Paix ! »
Et la tempête s’arrêta.
À ce moment, l’arbre sut qu’il avait transporté le Roi des rois.
Enfin, quelqu’un alla chercher le troisième arbre oublié dans un coin.
Il fut transporté à travers les rues et l’homme qui le portait se faisait insulter par la foule.
Cet homme fut cloué sur les pièces de bois élevées en croix et mourut au sommet de la colline.
Lorsque le dimanche arriva, l’arbre réalisa qu’il avait été assez fort pour se tenir au sommet de la colline et être aussi proche de Dieu que possible, car Jésus le Christ avait été crucifié à son bois.
Ces trois arbres vécurent leur rêve d’une manière différente de ce qu’ils imaginaient, tellement moins orgueilleuse mais tellement plus forte !
Conte traditionnel russe
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Par ozy le 31 Décembre 2016 à 23:59
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