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Parvenant jusqu'à la route sinueuse bordée de cyprès...
des notes de musique .....
Voiture qui monte, passe le portail, ralentit, s'arrête,
Klaxonnant joyeusement.
La portière s'ouvre, vous descendez.
La villa brille de tous ses feux,
L'air chaud de la nuit vous enveloppe,
vous monte à la tête,
L'odeur des roses se mêle à celle du champagne
A celle des flambeaux géants qui illuminent le jardin...
Les reflets des flammes voltigent
Se poursuivant comme des papillons dorés
Sur le satin noir des robes...
Mystère, magie et inconnu.
C'est dans la pénombre que la séduction opère
Le charme féminin a depuis toujours été associé à la lune
Préférez vous :
La lune blanche bienveillante, romantique, poétique ?
Ou la noire dangereuse, envoûtante, sensuelle ?
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Froid cruel, froid impérieux
Roi des hivers âpres !!!!!
Oublieras-tu tes armes ?
Inhumeras-tu dans ta caverne de givre le
Divin ramage des oiseaux ?????
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Il prend son café à Rome à une terrasse de la Piazza Navona
Il entend le bourdonnement lointain des voitures sur le Corso
Les klaxons aigus des scooters
La fontaine scintille, limpide comme une source.
Il suit d'un regard distant mais attentif les jolies femmes qui traversent la
place dans les rayons caressants du soleil matinal.
Des yeux noisette
Des chaussures café
Un costume cappuccino
Un sourire brillant comme des perles
Il a ce quelque chose d'indescriptible
Qui fait qu'un Italien est Italien.
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Ce qui frappe surtout, ce sont les teintes et les couleurs de la mer par labech ,
ses contrastes, ces alliances de tons qui font de la mer et du vent des complices indéfectibles.
Le labech s'accompagne d'une mer lumineuse, tranchant sur le noir des ciels de nuages bas qui s'enfuient, compacts à vive allure.Une mer odorante, brassée d'algues et des senteurs du large, chargée d'iode, bien souvent elle draine et emporte dans ces courants le limon arraché à la terre par les très fortes pluies qui s'abattent sur les hauteurs proches.
Et si d'aventure, le soleil venait à caresser les flots houleux, on verrait s'étirer à l'infini ces prairies marines écimées, vertes, jaspées de blanc, la préciosité d'une roche chère onduler avec les atours les plus fous de la Méditerranée
Le labech est comme le Suroît, un vent doux : " quand il se fâche il devient fou " !
C'est l'adage populaire, vent de SO dans les villes françaises proches de la Méditerranée
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Pivoines de mon jardin (hélas le mistral a ôté tous les pétales rapidement... dommage je n'en ai pas profité, j'ai réussi à en sauver quelques-unes que j'ai mises dans un vase... photo prise par mon époux)
Un geste
Un regard
Un sourire
Une parole
Un merci
Un oui
Une couleur
Un bruit
Un parfum
Des fleurs
Autant de petites choses
Qui me donnent l’espoir de croire,
Croire en la vie,
Croire en l’avenir,
(anonyme)
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Ne plus identifier l'autre à l'image négative, (ou même positive),que nous nous faisons de nous.....
Cette image nous l’avons créée nous- mêmes, lui avons donné forme.....
Elle est un miroir de nos points aveugles
Elle tire sa substance de tous les sentiments dont nous nous sommes coupés,
elle porte la marque de nos dénis et de nos refus.....
Elle reflète notre manque de présence à nous-même....
L'horizon intérieur s'est rétréci aux dimensions de l'ego.
Il faut revenir au ressenti
Exemple
L'oiseau se retrouve enfermé dans une cage alors qu’il volait dans un ciel sans limites …
Il a lui même choisit sa cage...
C'est véritablement une chute.
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Elle raconte nos vies durcies dans le ciment,
Elle raconte nos souvenirs oubliés par moment,
Tu la rencontres aussi au détour de nos rues,
Cette douleur atroce oubliée par le temps.
Elle nous raconte ses rêves
Qu'elle nourrit sans espoirs,
Elle nous raconte ses peines
Bien rangées dans le placard.
Il t'en faudra de la force
Si t'as croisé son regard,
Cette petite ombre qui plane
Et qui nous pousse vers le noir...
Tu la connais aussi on ne la présente plus,
Tu la connais aussi elle est dans ma rue.
As-tu seulement conscience
De tout le mal que tu fais,
Dans les cœur de ces gens
Et de la peur que tu crées.
As-tu marqué quelque part
Tes victimes à la craie,
Auprès de qui pourras-tu admirer ce bilan.
Aux glorieux je m'en prends,
Evitez nous ses souffrances,
Pourrait-on juste un jour espérer la clémence,
Partageons juste un peu
L'innocence de l'enfance,
Qu'elle se frotte à nos joues
Pour sourire un instant...
Et si jamais c'était nous
Les coupables de nos choix,
Je m'en prendrais à vous
De n'avoir plus de voix.
Mais y'a de quoi d'venir fou
A la quête du moi,
C'est pour ça qu'on tolère,
C'est peut-être pour ça que la mère,
Protège son petit et le garde à l'écart,
De la vague géante qui sépare tous ces gens.
Et qui transforme les rêves
En un vulgaire cauchemar,
Et qui transforme l'amour en une triste
Misère...
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