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Il y eu cette plaine immense, et la lune veillait
Il y eu l’arbre et l’ombre de l’arbre et lune veillait
Et encore cette plaine immense
Il y eu cette conscience du temps
Et de ce chemin si long
Et la lune veillait
Alors au gré des marées
Il mena sa barque
Sur les courants pélagiques de son âme
Et la lune veillait.......
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Tu ne supportais pas l’oppression ni l’injure
Tu chantais en rêvant le bonheur sur la terre
Tu rêvais d’être libre et je te continue.Paul Eluard
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