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..... Et un jour, alors que le vide est là, tout près
On vous attrape fermement, sans violence.
Vous retrouvez tout un monde de couleurs, de surprises,
Balayé par des vents odorants de senteurs inconnues,
Et l’espoir en souriant, attend que vous le regardiez…"
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"Il en est des destins comme des livres sacrés;
c'est la lecture qui leur donne un sens.
Le livre clos reste muet;
il ne parlera que lorsqu'il sera ouvert."
E.E. SCHMIDT
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On n'a pas le même drapeau,
Ni la même couleur de peau,
On n'a pas le même langage,
La même culture, les mêmes images.
On n'a pas les mêmes racines,
Les mêmes idoles qui nous fascinent,
Mais chacun de nous est vivant,
Avec la même couleur de sang.
Et on a tous le même soleil,
Et la même lune sur nos sommeils,
Et on a tous une main à tendre,
Peut-on encore vraiment attendre?
On n'a pas les mêmes coutumes,
D'autres rites, d'autres costumes,
On n'a pas les mêmes histoires,
Mais nos mélanges fait l'histoire.
On n'a pas les mêmes parents,
Mais on est tous encore enfant,
Et tous issus d'un métissage,
Devenus fous mais nés si sages.
Et on a tous le même soleil,
Et la même lune sur nos sommeils,
Et on a tous une main à tendre,
Peut-on encore vraiment attendre?
Car on a tous la même planète,
Qui nous supplie d'être moins bêtes,
Et on a tous une main à tendre,
Peut-on encore, vraiment attendre?
Une main avec nos différences,
Et le pouvoir d'en faire une chance.
Car on a tous le même soleil,
Et la même lune sur nos sommeils,
Et on a tous une main à tendre,
Peut-on encore vraiment attendre?
Car on a tous la même planète,
Qui nous supplie d'être moins bêtes,
Et on a tous une main à tendre,
Peut-on encore, vraiment attendre?
Car on a tous le même soleil,
Et la même lune sur nos sommeils,
Et on a tous une main à tendre,
Peut-on encore vraiment attendre?
Car on a tous le même soleil,
Et on a tous une main à tendre,
Peut-on encore seulement attendre?
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Une araignée a tissé sa maison
Le mauvais temps s’en va vers l'horizon
L'oiseau refait son nid
La terre sort de la nuit
j’en ai oublié l'hiver
Et je pense à la mer
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Il y a quelque chose de miraculeux dans l’infatigable optimisme de la floraison qui revient après la désolation de l’hiver.
Une forme de joie à remarquer les différences chaque année,
la façon dont la nature choisit de mettre à son avantage telle ou telle plante.
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J’ai des tiroirs tout en vrac, dans ma tête
Ils s’ouvrent de temps en temps pour déverser leur flot de mots
Des mots pour parler de la maman
qui parle d’amour à son enfant
Des mots qui s’en vont dans le cœur, qui chatouillent,
Et qui ressemblent à une nuée de papillons
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