• UNE VIDEO  SOUVENIR

     




    MERCI AUX PERSONNES QUI ONT FAIT CE MONTAGE


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  • DU PRESQUE JAMAIS VU (enfin tous les 20 ans ..)

     

    BONHOMME DE NEIGE PARC BORELY

     


     PLAGE DES CATALANS




     

    NOTRE DAME DE LA GARDE



    NOTRE DAME DE LA GARDE.. TOUT SCHUSS .....



    PLAGE DE LA POINTE ROUGE

     

















    AUTRE DERNIERE STATION A LA MODE : AVENUE DU PRADO



















    DEUX  SUPPORTERS OM


    CONSEIL GENERAL SOUS LA NEIGE



    DERNIERE  STATION A LA MODE  CORNICHE



    SALLE DE CONCERT LE DOME


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    La musique du ventilateur
    Tourne encore dans nos cœurs
    Et nos corps se répondent.
    Noyés dans la chaleur.
    A l'autre bout du monde,
    Des frissons d'équateur
    Dans cette lumière blonde.

    Mes mains dans tes cheveux
    Comme le vent dans les lianes
    Redescendent peu à peu
    Sur tes dessins de femmes
    Jusqu'au secret noyé
    De silence et de pluie,
    Les ailes déployées,
    Comme un oiseau s'enfuit.

    La musique du ventilateur
    Tourne encore dans nos cœurs
    Et nos yeux se racontent
    Des histoires de voleurs
    Qui n'ont ni peur ni honte
    D'être les inventeurs
    De ce plaisir qui monte.

    Mes mains sur ton visage
    Ne retiennent qu'à moitié
    La violence de l'orage
    Par désir par pitié.
    Je veux le bleu du ciel
    Avant de m'effondrer,
    Brûlé par le soleil,
    Comme un oiseau cinglé.

    La musique du ventilateur
    Tourne encore dans nos cœurs
    Et nos corps se délivrent
    Perdus dans la tiédeur
    De nos rêves qui survivent
    Aux instants de douleur
    Que je voudrais revivre.

    Mes mains dans tes cheveux
    Comme le vent dans le lianes
    Descendront peu à peu
    Sur tes dessins de femmes
    Jusqu'au secret noyé
    De silence et de pluie,
    Les ailes déployées,
    Comme un oiseau s'enfuit.

    Mes mains sur ton visage
    Retiendront à moitié
    La violence de l'orage
    Par désir par pitié.
    J'aurai le bleu du ciel
    Avant de m'effondrer,
    Brûlé par le soleil,
    Comme un oiseau cinglé.

    La musique du ventilateur
    Tourne encore dans nos cœurs
    Et nos corps se répondent,
    Noyés dans la chaleur,
    A l'autre bout du monde,
    Des frissons d'équateur
    Dans cette lumière blonde.



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  • L'influence de John Coltrane né à HAMLET (USA) en septembre 1926. est immense.

    Bien au-delà du jazz, nul n’est resté indifférent à son apport stylistique et il a marqué toutes sortes de musiciens, y compris dans la soul, le hip-hop ou le rock.

    Tout saxophoniste free doit franchir la terrible épreuve de lui succéder et les guitaristes les plus aventureux se sont référés à lui.

    Pourtant son œuvre, extrêmement personnelle et introspective, est loin de se résumer aisément.

    Fascinante quête spirituelle d’on ne sait quel dieu, elle est un voyage, l’envol d’un Icare contemporain qui se serait prématurément brûlé les ailes.

    Fils d’un musicien amateur, c'est à treize ans que John Coltrane acquiert son premier saxophone alto.

    Il fait ses premières armes dans des orchestres de rythm’n blues puis, remarqué par Dizzy Gillespie, il participe dès 1949 à la vague be-bop, apprenant à se libérer des codes.

    En 1955, sa rencontre avec Miles Davis est déterminante. Le trompettiste l’engage dans son quintette
    .
    il se révèle bien vite un maître.

    Mais l’héroïne le ronge, ce qui perturbe sévèrement ses relations avec Davis : il est plusieurs fois évincé de la formation.

    1957 marque son intégration temporaire à l'orchestre de Thelonious Monk.

    Les deux musiciens montrent une extraordinaire entente musicale, déjouant les structures rythmiques et swinguant malgré tout. L'album issu de l'expérience est un des quelques disques qui peuvent déterminer une passion immédiate pour le jazz.

    Coltrane signe aussi ses premiers enregistrements majeurs sous son nom, en particulier « Blue Train », où il sublime le hard bop.

    Après une dernière séance avec Miles, sur le célèbre « King Of Blue » (1959), il forme le quartet qui lui permettra de poser ses propres règles de grammaire.

    Après diverses collaborations,il trouve la formule idéale en 1960 avec Jimmy Garrison à la basse, McCoy Tyner au piano, et Elvin Jones à la batterie. Avec« Giant Steps » (1959), il se démarque du vocabulaire bop, à la recherche d'arpèges orientaux inédits (« Naima ») nom de sa première femme .

    Fasciné par la mystique et la musique indiennes, ainsi que par les racines africaines du blues, il bâtit des solos de plus en plus aventureux, un free-jazz dont le but n’est pas de rompre avec la tradition, mais de réunir et de concilier des univers étrangers.

    Au sax soprano ou au sax ténor, il se défie désormais de tout carcan harmonique, capable d’improviser de longues lignes mélodiques envoûtantes, ou de partir dans des déferlements de violence stridente

    Son adaptation d'un thème de « La Mélodie du Bonheur », obtient en 1960 un énorme retentissement : loin des comédies musicales, il en fait une sorte de mantra dissonant et hypnotique.

    Définitivement, il s’impose comme le saxophoniste le plus important depuis Charlie Parker. Pris d’une sorte de frénésie créatrice, Coltrane multiplie les aventures musicales les plus diverses.

    Dès 1961, il incorpore le sax provocant d’Eric Dolphy à son quartet, puis fonde avec lui une autre formation
    En marge de son groupe habituel.

    Il va de plus en plus loin, joue de plus en plus free.

    Dans le même temps, il s’illustre aussi sur des enregistrements comme « Coltrane Plays The Blues » (1960) ou « Ballads, Duke Ellington and John Coltrane », enregistré avec le saint patron du jazz en personne.

    Dans « A Love Supreme », Hymne panthéiste, prière musicale nébuleuse et inspirée, il illustre à merveille son syncrétisme.
    Le disque suscite l’incompréhension chez certains, mais annonce un nombre impressionnant d’avant-gardes qui agiteront la musique dans les décennies suivantes : les symphonies minimalistes américaines, le psychédélisme, et même le jazz rock, dont il pose les bases sans utiliser l’électricité.

    Pourtant, au cours des dernières années de sa vie, Coltrane réduit les séances son quartet, préférant jouer avec d'autres orchestres plus free.

    Eternellement insatisfait, cet homme qu’on décrit pourtant comme calme et réfléchi, veut briser les dernières barrières du jazz.

    Avec « Ascension » (1965), il ose toutes les dissonances. Son œuvre se fait abstraite, énigmatique plus qu'envoûtante.

    Il meurt à 41 ans , foudroyé par un cancer du foie , alors que son inspiration était loin d'être tarie


    Bernard Lavilliers l'a chanté dans LA MACHINE .....Et puis « Coltrane » ressuscité qui pousse au crime et qui insiste.......





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  • .........une fleur : une fleur noire d'orchidée,
    une plante : un cactus aux fleurs fluorescentes,
    une pierre précieuse : des perles de sueur,
    une musique ou un instrument : une guitare,
    un arbre : un baobab,
    un animal : un chat sauvage,
    un personnage historique : lui,
    une couleur : le rouge,
    une odeur, un parfum : l'odeur de la mer,
    une saison : l'été,
    un moyen de locomotion : ses jambes,
    un pays, un continent : la scène,
    un objet : un morceau d'ébène ou une pépite d'or,
    une sensation : intense,
    un sentiment : intense....."

    Juliette Gréco. Préface du livre "Escales" de Gert Peter Bruch.



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  • La porte de l’hôtel sourit terriblement
    Qu’est-ce que cela peut me faire ô ma maman
    D’être cet employé pour qui seul rien n’existe
    Pi-mus couples allant dans la profonde eau triste
    Anges frais débarqués à Marseille hier matin
    J’entends mourir et remourir un chant lointain
    Humble comme je suis qui ne suis rien qui vaille
     
    Enfant je t’ai donné ce que j’avais travaillé

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