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A mour, merveilleux sentiment qui nous lie
M iracle jeté par le hasard d’une vie
O ndes qui perpétuent les rêves et les flammes
U nissant dans un torrent divin, rires et larmes
R ien n’a plus de prix, le cœur n’en a jamais fini
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Univers de satin,
Peuplé d’apollons superbes
Sublimes rêveurs…
Juste pour la vue
Des odeurs envoûtantes règnent là
Des endroits secrets où s'égayer
Des matières sophistiquées qui embaument
Tout ce qu’une femme désire
Est rassemblé là pour un instant de repos
Pour échapper au quotidien qui tue l' imaginaire
Et revenir n’est pas difficile
Il suffit de claquer des doigts et d’ouvrir les yeux.
Ma part de rêve .......
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Juste un peu de temps pour courir plus vite
Rien que quelques mots afin d’écouter ton silence
Ouvre donc ton art à l’amour qui l’habite
Puis de tes deux mains gomme la toile de l’absence
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Parvenant jusqu'à la route sinueuse bordée de cyprès...
des notes de musique .....
Voiture qui monte, passe le portail, ralentit, s'arrête,
Klaxonnant joyeusement.
La portière s'ouvre, vous descendez.
La villa brille de tous ses feux,
L'air chaud de la nuit vous enveloppe,
vous monte à la tête,
L'odeur des roses se mêle à celle du champagne
A celle des flambeaux géants qui illuminent le jardin...
Les reflets des flammes voltigent
Se poursuivant comme des papillons dorés
Sur le satin noir des robes...
Mystère, magie et inconnu.
C'est dans la pénombre que la séduction opère
Le charme féminin a depuis toujours été associé à la lune
Préférez vous :
La lune blanche bienveillante, romantique, poétique ?
Ou la noire dangereuse, envoûtante, sensuelle ?
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Froid cruel, froid impérieux
Roi des hivers âpres !!!!!
Oublieras-tu tes armes ?
Inhumeras-tu dans ta caverne de givre le
Divin ramage des oiseaux ?????
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Il prend son café à Rome à une terrasse de la Piazza Navona
Il entend le bourdonnement lointain des voitures sur le Corso
Les klaxons aigus des scooters
La fontaine scintille, limpide comme une source.
Il suit d'un regard distant mais attentif les jolies femmes qui traversent la
place dans les rayons caressants du soleil matinal.
Des yeux noisette
Des chaussures café
Un costume cappuccino
Un sourire brillant comme des perles
Il a ce quelque chose d'indescriptible
Qui fait qu'un Italien est Italien.
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Ce qui frappe surtout, ce sont les teintes et les couleurs de la mer par labech ,
ses contrastes, ces alliances de tons qui font de la mer et du vent des complices indéfectibles.
Le labech s'accompagne d'une mer lumineuse, tranchant sur le noir des ciels de nuages bas qui s'enfuient, compacts à vive allure.Une mer odorante, brassée d'algues et des senteurs du large, chargée d'iode, bien souvent elle draine et emporte dans ces courants le limon arraché à la terre par les très fortes pluies qui s'abattent sur les hauteurs proches.
Et si d'aventure, le soleil venait à caresser les flots houleux, on verrait s'étirer à l'infini ces prairies marines écimées, vertes, jaspées de blanc, la préciosité d'une roche chère onduler avec les atours les plus fous de la Méditerranée
Le labech est comme le Suroît, un vent doux : " quand il se fâche il devient fou " !
C'est l'adage populaire, vent de SO dans les villes françaises proches de la Méditerranée
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