Tel un manège,

Le printemps poursuit son incessant tournoiement.

La nature enfin l'enlace dans un dernier larmoiement.

 

"Voici mars!"

"Une mystérieuse renaissance vous ne pourrez éluder."

Et le ruisseau offre à l'hiver son requiem de Verdi.

 

À cet heureux présage, la vallée peu à peu reverdit

L'aurore accueille dans un scintillement de rosée

 

Ce changement dans la nature.

Chante la gracieuse tourterelle

 

S'éveillent les chanterelles.

Rêve la chrysalide au  magnifique papillon qu’elle va devenir

 

Jonquilles, tulipes et muguets de fleurir se languissent

Délicatement se pose la "Fée des fleurs" sur le narcisse.

 

Vêtue d'une incomparable robe aux couleurs translucides d'azur et de soleil,

Que vous m’avez manqué

 

A jamais auprès de vous je veux vivre,

La "Fée des fleurs" étire ses ailes frêles et s'envole vers le grand étang

"Que cherches-tu jolie "Fée des fleurs?" lui demande alors le roseau.

Et elle  de lui répondre: "Mes amis les papillons et les oiseaux."

Le beau papillon orangé, t'attendra sur la branche du lilas

 

La "Fée des fleurs" s'envole alors vers le jardin où les tulipes l'attendent.

"Enfin, vous voici "Fée des fleurs!" lui disent-elles alors en chœur

"Ne nous quittez plus!"

Leur parfum elle respire, leurs pétales si délicats elle caresse.

Avec tout son amour, un baiser elle leur donne avec tendresse.

 

(anonyme)

 

 

 

 

 

C’est quoi  le bonheur ?

 

C’est d’ être deux ...

 

C’est de s’aimer,  de partager

 

C'est vouloir être heureux

 

C’est d’être ensemble tous les jourss

ou de se retrouver après une journée de labeur

 

Avoir le cœur et l’âme en feu

 

C’est aussi la joie et le désir

 

C ‘est vouloir vivre son avenir

 

Avec passion amour et dévouement

 

C’est de se respecter

 

C’est avoir confiance en l’être aimé

 

 

 

 

 

 

 

Je vous donne mon cœur

Contre un peu de chaleur

Je vous offre ma vie

Prenez-là, c'est gratuit

Je demande simplement

Un sourire en passant

Je ne possède rien

Que ma peau de chagrin

Je vous promets de rire

Un seul mot peut suffire

Cette nuit il fait si froid

Ayez pitié de moi

Mon manteau est mité

Il laisse le vent passer

Dans mes chaussures, des trous

Font entrer les cailloux

Je traîne ce carton

En guise de maison

Aussi, je vous demande

Mon Dieu comme une offrande

Arrêtez cette misère

Je veux quitter la terre

Y a-t-il au paradis

Aussi des sans abris ?

 

 

 

 

 

Cet agent de police a acheté une paire de chaussures

pour ce SDF car il faisait très froid à NY

mais quelques jours après le même agent a rencontré

ce SDF  à nouveau sans chaussures, il  n’arrivait à les porter

(une belle histoire je trouve  non ?

 

 

   

 Rire souvent et beaucoup

 

Gagner le respect des gens intelligents

 

et l’affection des enfants

 

Savoir qu’un être a respiré

 

plus aisément parce que vous avez vécu

 

C’est cela réussir sa vie

 

 

 

 

 

R.W. EMERSON (philosophe américain)

 

 

 

 

 

Sachons éviter les offenses

 

puisque nous ne savons pas

 

les supporter

 

 

 

 

Sénèque

 

 

 

 

 

Il faut aussi parler de l’anorexie, ce fléau insidieux

auprès des adolescentes... tout ceci  induit par les critères de la mode

et les grands couturiers qui se rendent compte si une fille a pris 100 g

et qui la mettent au régime... et ces filles finissent par en mourir par carences conjuguées

Voici ce que j’ai écrit, différemment de mes autres approches des maladies

 

 

 

 

Tu t’es glissée dans ma vie depuis bien des années

 

Enfant docile, ado fragile, adulte fébrile

 

Tu guettes tes proies et leurs dictes ta loi

 

Ton existence n’a de force que dans la souffrance

 

Ta plus grande joie, me chérir et me voir périr

 

Mais la danse, déesse de ma détresse

 

Fée protectrice de ton précipice

 

M’a projetée hors de ta cage dorée

 

Pour m’apprendre le mot LIBERTE

 

Tapie à l’ombre de mes pensées

 

Ton désir est de me reconquérir

 

Je te mets au défi  d’un  jour y parvenir

 

 

 

 

 

 

Toutes les mers du monde

 

Remontent le temps

 

A grands coups de marées.

 

Les vagues lapent le temps,

 

L'éternité nous guette.

 

La Terre se tait sous sa caresse

 

Et le monde s'endort,

 

Oubliant sa détresse.

 

 

 

 

 

 

A chaque regard, l’attention

 

A chaque mot , la réflexion

 

A chaque geste , la peur

 

A chaque pas, la sueur

 

Je glisse chaque jour

 

Dans cet entonnoir

 

Dans ce dédale de pensées

 

Ce tourbillon de souvenirs glacés

 

Mon âme ne veut plus

 

Mon âme s’est perdue

 

Je me réveille au petit matin

 

Avec  dans mes yeux bruns

 

La lueur de ce monde impitoyable

 

Laissant des blessures inestimables