Il y a une grande beauté à avancer

Dans la vie sans anxiété ni peur.

La moitié de nos peurs sont sans fondement

et l’autre moitié peu honorables

C. Nevell (écrivain américain)

En art    

Comme en amour   

L’instinct suffit 

  A. France 

Il aime bien passer ses vacances à Barcelone …

Parce qu’il y a du soleil, des couleurs,

Des femmes sensuelles

Parce que Barcelone  déborde de joie de vivre

On imagine aussitôt  à ses côtés une sirène blonde

Aux jambes interminables

Aux yeux profonds comme des maelstroms espagnols ?????

Seulement pas moyen de vérifier  si cela existe

Les maelstroms espagnols  .....

  La Femme Amérindienne est une épouse fidèle et obéissante.

  Son mari la respecte.

  Le guerrier ennemi à l'obligation de lui laisser la vie sauve.

  Elle confectionne les habits et les bijoux.

  L'hiver, elle s'occupe du bois et de l'eau.

 Les femmes sont les gardiennes du foyer.

  Dans de nombreuses tribus,elles assistent aux réunions du conseil.

  Elles partagent les mêmes peines et les mêmes joies que les hommes de la tribu.

   Dès l'âge de six ans, la petite amérindienne aide sa mère aux petits travaux du "ménage".

  A dix ans, elle monte à cheval comme un guerrier,s'occupe de ses frères et soeurs et prépare le pemmican( viande de bison séchée )et les peaux des petits animaux tués par son père.

Elle sait tout faire quanD à quatorze ans,on la marie à un jeune brave plus âgé qu'elle.

  Dès lors, elle devient une véritable femme indienne.

Elle monte et démonte le tipi familial lors des déplacements d'un territoire de chasse à l'autre, à la suite des bisons.

  Aidée par ses compagnes, elle dépouille les bêtes abattues.

  Ce travail pénible a pourtant sa récompense.

  Quelle fête pour la tribu que de se régaler des bons morceaux de viande bouillis ou grillés.

  La femme indienne travaille en permanence.

  Elle prépare et tanne les peaux durant des semaines.

  Cette tâche terminée, elle taille les vêtements et les mocassins qu'elle décore avec talent.  

  Les indiens des plaines sont polygames, leurs épouses vivaient toutes ensembles en parfaite harmonie entre elles et avec leur mari. 

 La raison de leur polygamie était due au fait que les tribus étaient constamment engagées dans des guerres, le taux de mortalité était très impressionnant ce qui avait pour conséquence de laisser un grand nombre de femmes pour très peu d'hommes ( 3 femmes pour 1 homme).

  Les hommes pouvaient avoir une douzaine de femmes, mais cela dépendait essentiellement de leurs moyens. 

  Chaque épouse avait sa place assignée dans le tipi familial. 

  Si elles avaient des enfants elles dormaient avec

pris sur un livre traitant des  indiens Lakota tribu à laquelle je m'intéresse beaucoup 

Tableau de  Paul Michel Dupuy

 Elles sont là sur la plage

En maillots blancs

Et pour que nul ne les dérange

Elles ont pris un para... vent

Elles sont gaies, elles sont belles

Elles sont jeunes et éternelles

Éternelle comme la jeunesse

Qui les enveloppe de son aile

Elles ne veulent pas d’hommes

Leurs études d’abord et plus tard leurs diplômes

C’est tout à leur honneur à cette époque

Ou dealer est bien plus lucratif et bien plus dangereux

Conscience elles ont,

De ne pas faire mal aux adolescents, fragiles ..... futurs hommes

Si on rit, on prend le risque de paraitre un peu fou

Si on pleure c'est risquer de paraître fragile

Aller vers quelqu'un c'est risquer de s'engager.

Raconter ses rêves aux autres c'est risquer de les perdre.

Aimer , c'est risquer de ne pas être aimé en retour.

Essayer c'est risquer d'échouer, normal....

Mais le plus grand danger dans la vie

C'est de ne rien risquer du tout.....

Seuls ceux qui risquent de vivre

Suivant leurs envies  sont libres.

Les autres sont des enchaînés

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Grands et fabuleux paysages

 Différents et mystérieux langages

Si beaux, si intéressants à découvrir

Une planète

Corps vivant

 Conscience et  sensibilité

La vie en mouvement

                                                                           Pour enchanter l’éternité

Qui d’entre nous ayant rêvé,
N’a pas tenté de retrouver
Ce qui rendit si merveilleux
... Pleins d’exquis instants sommeilleux ?

Combien de rêves de passage
S’en vont rejoindre les nuages
Pour s’évanouir en douces pluies
Dessus nos heures qui s’enfuient ?

Comme les songes qui s’effacent
Sans ne laisser aucune trace,
S’effilochent des souvenirs
Difficiles à retenir.

L’amnésie est un rideau noir
Tiré par dessus la mémoire.
Pourtant, parfois il se déchire,
Faisant encore un feu jaillir.

Quelques empreintes de pas pris
Dans le ciment frais de l’oubli,
Des éparpillements d’archives
Que l’imaginaire enjolive.

On ne revit jamais ses rêves,
Ils nous visitent, ensuite ils crèvent.
Telles des bulles de savon,
Ils montent, ils montent et puis s’en vont.

Georges Noel COLDOLD