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Par ozy le 17 Mai 2013 à 00:00
La couleur de ses cheveux comme de la soie... fauves ...
Fait vibrer son être dans ses songes
Il pense à la distance qui les sépare...
Elle est le contraire du désespoir...
Sa présence lui manque ...
Entre elle et lui c’est l’amour fort
Sa peau est douce lorsqu'il y pense
Elle sent le parfum du bonheur
Son nom est gravé dans son cœur
Il veut construire sa vie avec elle
et lui envoie un SMS au milieu de la nuit.....
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Par ozy le 15 Mai 2013 à 00:00
Silhouette d’un corps nu
voilé de soie transparente
à la couleur des éléments.
Nacre d’un cou
portant comme couché de soleil
la blonde chevelure
torsadée de mille bruns de paille
sur fond d’émeraude.
Marbre de carrare
attendant les coups de ciseaux
pour traduire, en légers touchés de l’artiste,
les cambrures parfaites,
dévoilées par le linge fin, adhérant,
au sortir de la source bleue.
Nudité délicate d’espérance
de caresses et d’amour
en trois dimensions……
Ghislaine Bricout
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Par ozy le 12 Mai 2013 à 00:00
Cette envie en moi,
Ce, je ne sais quoi.
Besoin de vous aimer
Moment inachevé.
Coeur entrouvert
Porte à passer.
Si j’ai la clé, rien je ne volerai
Plutôt y déposer une dose d’amitié!
Pensées d’un soir.
Coeur palpitant d’espoir.
Votre force inconnue
Vos mots, vos émotions
Quelque soit votre nom
Laissez ouvert ce livre !
Laissez rêver la plume
Ces tâches d’encre, je vais les effacer.
Par des mots amicaux les remplacer.
Promesses d’un jour ?
Que nenni chers amis !
Promesses de toujours
Oui, à la vie,
Oui à la folie !
Si ce monde décline
Notre entente s’illumine !
Car l’espoir d’un regard
Est plus fort que ce noir
Laissez-moi vous parler !
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Par ozy le 10 Mai 2013 à 00:00
Que savez-vous de moi
Que je ne sais déjà
Que savez-vous de moi
Que j´ignore
Comprenez-vous pourquoi
Je glisse entre vos bras
Comprenez-vous pourquoi
Je m´endors
Je le dis comme je pense
C´est une simple évidence
Je tourne autour du monde
Car ma terre est ronde
Je le dis comme j´espère
Pour les deux hémisphères
Mes jeux ne sont pas les vôtres
Mon je est un autre
Savez-vous que je suis
Enfer ou paradis
Savez-vous que je suis
Quelqu´un d´autre
Connaissez-vous l´ennui
D´avoir un seul pays
Connaissez-vous l´ennui
D´une seule note
L´autre n´est pas un miroir
C´est un écho tout proche
L´autre ne donne rien
Il propose
L´autre ne change pas
Il se transforme
L´autre ne vient pas
Il reste
L´autre n´est pas une proie
C´est un met de rêve
L´autre ne sent pas
Il parfume
L´autre ne meurt pas
Il manque
L´Autre n´est pas qu´un autre
Car je suis l´Autre d´un autre Je..
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Par ozy le 9 Mai 2013 à 00:00
bougainvilliers photographiés en Crète par mon mari
Qu'il est doux de lire des poèmes d'amour
Et de s'enivrer de la beauté des mots
Un peu comme si on cueillait des fleurs
Dans le jardin de notre coeur
En s'imprégnant pour longtemps
de leurs parfums...
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Par ozy le 7 Mai 2013 à 00:00
Si Londres ressemble à un vieux whisky sans âge,
Si Florence ressemble à du Chianti vigoureux mais poétique,
Si Venise est un philtre magique dont on ignore la composition,
Paris est incontestablement un flot de champagne
Ses bulles pétillent sur les courbes des statues et le bronze
des lampadaires.
Mais c'est quand on tombe amoureux à Paris que le bouchon saute
et que le charme de cette ville magique se dévoile enfin en entier.
Paris est la ville de l'amour.
mais pas que ..............
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Par ozy le 6 Mai 2013 à 00:00
Pourquoi ne m’as tu pas attendu
Toi, la frêle silhouette à l'œil bleu ?
Evaporée dans le soirsans un au revoir
Sans un adieu
Au plus profondDes cieux
Reflets tristes et bleus....
Dans ton regard, je me revoiset je me meurs ma douce
De te savoir ailleurs
Tu étais un ange,
Comment pouvais je le savoir ?
Je t’ai perdue , je t’ai laissée partir...
Toi la fée aux yeux clairs
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Par ozy le 4 Mai 2013 à 11:54
Un soir de pluie et de brouillard,
Quelques taxis passent sans me voir.
Une insomnie qui tourne au cauch´mar.
J´n´ai qu´une envie,
Rentrer pas trop tard.
D´toutes facons,
Je n´voulais pas sortir
Et ce soir, j´avais le blues
Sur le trottoir.
Un genre gangster vient m´accoster,
Joue le mystère pour m´épater.
Là sous la pluie, il veut bavarder.
Ses p´tits ennuis
Me donnent la nausée.
D´toutes facons,
Moi, c´que j´veux, c´est dormir
Et ce soir, j´avais le blues
Sur le trottoir.
L´aube abimée arrive enfin,
Grise et gorgée de parisiens
Mais moi, j´m´en fous :
J´rejoins mon décor.
Y courent partout,
Toujours et encore.
D´toutes facons,
Je n´voulais pas sortir
Et ce soir, j´avais le blues
Sur le trottoir.
Un soir de pluie...
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