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    Juillet un soir.... Peur


    Tous sens en éveil

     

    Les lucanes s’agitent

      

     



     

      

      


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    Française, vivant dans un « paradis fiscal » qui n’a de paradis que par comparaison avec la taxation exorbitante que subissent les français.

     

    Bref, j’arrive à Paris en début d’après-midi et de la bouche de métro jusqu’à mon point d’arrivée, ce ne fut qu’agressions répétées.

     

    Déjà, l’agression du laveur de vitres à qui nous avions dit non et qui ayant continué nous réclamait son dû en tapant de plus en plus fort sur la vitre.

     

    Descente dans le métro où une volée de négros veut nous vendre des tickets.

     

    J’avise un couple d’asiatiques et les mets en garde de ne pas acheter leur ticket si ce n’est à la caisse officielle.

     

    J’entends alors le négro me dire: toi la vieille, ta gueule.

     

    Ensuite, me retrouver à 3 blancs dans toute une rame bondée de toutes les couleurs….j’arrive enfin à bon port.

     

    Je sors du métro, traverse un petit stade de foot où jouent des blacks, des beurs et pas de blancs, ayant tous entre 20 et 30 ans….

     

    Un lundi après-midi.

     

    J’en conclus facilement que les français sont au boulot pour payer les aides sociales de ces connards qui jouent au foot.

     

    Voilà Paris, voilà la France.

     

    J’en pleure encore, que de gâchis.

     

    Que de gâchis.

     

    Je ne suis là que pour quelques jours, vivement que je rentre dans mon paradis….fiscal ou pas, mais paradis surement.

     

     Enfin, plus pour très longtemps.

     

    Les voilées, les mendiants commencent à affluer….que voulez-vous, c’est l’Europe….peuplée d’extra-européens….

     

     

     

    ps c'est une lettre que j'ai trouvée sur Riposte laique

     

     

     

     


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    La jalousie gouverne le monde.

     

    Sans elle, il n'y aurait ni amour, ni argent, ni société.

     

    Personne ne lèverait le petit doigt.

     

    Les jaloux sont le sel de la terre.

     

     

     

    Frédéric Beigbeder

     

     

     


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    Valise dans la campagne

     

    Tombée  sur ce chemin

     

    Tristesse

      

      

     

     


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    LA DERNIERE FEE - BALZAC

     

     

      Les fées demeurent par-delà les cieux,

     

    car les cieux sont le parvis de leur temple,

     

    et les étoiles sont les marques de leurs pas.

     



    La dernière fée  -  Honoré de Balzac

     

     

     


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    L  ENFER  HENRI BARBUSSE......

     

     

    Un homme las, blasé de tout, fatigué de la vie et de l'amour, qui n'a plus goût à rien, échoue dans un hôtel de province.

    On ne sait rien de lui, si ce n'est qu'il est âgé d'une trentaine d'années.

    Des bruits venant de la chambre voisine, attirent son attention.

    Il se lève, intrigué, et remarque en hauteur, sous le plafond, un trou qui lui permet de voir... Et il regardera... fasciné, les épisodes de la vie humaine qui se déroulent de l'autre coté. Le sexe, bien sûr, tient une place importante, chambre d'hôtel oblige.

    Par le prisme du héros, qui reprend goût à la vie, tout en se perdant, nous devenons également voyeurs. Le réalisme cru, mais empreint de lyrisme, et le sujet même de ce roman paru en 1908, n'ont probablement pas été du goût de tout le monde à l'époque...

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    Henri Barbusse met en scène dans ce livre un jeune provincial venu à Paris pour travailler dans une banque, et à qui par un procédé un peu miraculeux il est permis d'observer la vie de ses voisins de la pension de famille où il loge.

     

    Il verra la servante, deux adolescents qui s'éveillent au désir de devenir amants, le couple adultère et la peur qui les tenaille, il entendra aussi le premier cri du nouveau-né...

     

    C'est une formidable "recherche du sens de la vie et du mystère de la mort",

     

    L'amour, la mort.

     

    Toujours et encore.

     

    le narrateur cherche a percé le masque social pour découvrir la vérité des hommes, des personnes seules, des couples, des couples rêvés, des couples de solitudes.

     

    Et il est question du mensonge, de la vérité, du mal, du bonheur, de sexe, de politique, de tout un monde où l'on peut percevoir les idées, les convictions et les doutes de l'auteur.

     

     

     

     

     


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    Dans la nuit sombre et calme, je m’éloigne

     

    La brume ténébreuse enrobe mes poils luisants

     

    Maléfices ? Pourquoi ? Je ne suis qu’un chat ....

     

    Je suis tel un lutin farceur  polissonnant de rue en rue.

     

    Je joue avec la nuit céleste,

     

    Lorsque soudain, mes yeux s’allument,

     

    Cette auréole lumineuse ensorcelante.

     

    Mon artiste merveilleuse.

     

    S’appelle la lune,

     

    Ma moustache se dresse friponne vers cet astre

     

    Tentation nocturne….Je l’écorche avec mysticisme

     

    De la poussière se dérobe de son manteau pâle

     

    S’abat sur la nature,

     

    Ainsi  naissent les fées protectrices de nos songes.

     

     

     

     

     

     


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    BONHEUR............................

     

     

    Nul ne nous oblige à aimer ce que tout le monde aime, à nous conformer à ce que la majorité pense.

      Il faut au contraire affirmer en douceur sa différence.

     Il y a un espace pour chacun.

     Et une promesse de bonheur pour tout le monde. »
     

     

     

    (Catherine Rambert)

     

     

      

     


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