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Obsédant murmure
Epoque éperdue et perdue
Chère âme sœur
Douceur des regardsEclats empourprés
Mystère des langueursLarmes épicées
Danse des mots susurrés
Sous l’olivier argenté
Confidences essentielles
Montant vers le ciel étoilé
Soudain .....Silence, distance
Origami navrant,
Désamour habillé de regrets
Cœurs perdus en ombres
Dansantes dissidences
Stridences impromptues
Cœur esseulé
Regret de la source bienfaisante
EspoirRaison
Résonance
Requiem
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Les coïncidences ne sont-elles rien de plus que le fait du hasard ?
Et tout leur intérêt consiste-t-il à nourrir les conversations de salon ?
Où alors font-elles partie d’un mécanisme hautement plus complexe
dont la véritable teneur nous échappe à ce jour ?
Un mécanisme ?
Lequel ?
Tout serait donc écrit dès la naissance ?
Et le fameux libre arbitre ?
Une manière pour l’homme de se rassurer ?
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Pour gommer la détresse
Ecrire au crayon de couleur.
D’un rien s'émerveiller,
De tout s'enthousiasmer.
Ne plus connaitre le doute,
Marcher d'un cœur léger sur la route.
Se sentir apaisé,Quand enfin tout se pose
Que le cœur se repose.Ne plus craindre les fantômes du passé.
De la nature apprivoiser les éléments,
Et savourer chaque moment.Ne pas ignorer qu'après la pluie,
Un arc-en-ciel
Annonce des merveilles.C'est vivre aujourd'hui,
Se jouer de l'ennui.
C'est croire en demainOuvrir son cœur en grand
Comme on ouvre ses mains.
S'assoir au pied d'un arbre
Entrer en connexion
Avec ses plus belles émotions.Regarder la vie comme on regarde un tableau
Et se réjouir de ce qu'on voit de beau...
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Elle est la féminité incarnée
Légèreté et volupté.
Délicatesse et sophistication.
Elle évoque l'Inde, ses temples, ses soieries et ses épices...
Les Tropiques et la jungle,
Les Îles exotiques,
La mer verte,
Les fruits juteux
Le sable blanc.
Les prairies vertes de la campagne nordique,
L’image des lacs italiens bordés de cyprès et d'orangers...
Elle est cette fuite à la découverte de soi-même et du monde.
Elle fait rêver les plus réfractaires
C’est elle que les célibataires les plus endurcis demandent en mariage au second rendez-vous.
Elle est l'innocence mystérieuse
Et la radiance sensuelle.
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M aison qui nous abrite tout au long de notre enfance et de notre adolescence
A force d’avoir accueilli, elle est fatiguée
I l faut y ranger, nos rêves, nos souvenirs
S ans oublier un jour d’y revenir
O n la rend belle en plantant des fleurs le temps d’un week end
N ’oublions pas de lui parler avec le cœur
S ’écroulent les maisons qui ont peur de vieillir, seules....
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Et même si je ne marche plus tout à fait droit,
Même si mes pas ne sont plus ceux d'autrefois
Je vais, de travers, je vais
Et même si je sais que l'on parle de moi,
Que certains se réjouissent alors que d'autres prient pour moi
Je vais, je ne les entends pas
Du courage quand monte la fièvre
Et l'orage te rejoint tout là-haut
Au-dessus de la ville
Du courage, rester au dernier étage
En plein soleil, ma peau
Ne connaît que toi
De là-haut, j'entends encore ta voix
C'est de là-haut que je te sens près de moi
Alors, je vais et je ne redescends pas
De là-haut, on pense que je suis au plus bas
Mais c'est de là-haut que je me souviens de nous en avril
Je ris de nouveaux sourires
Plus une larme, que du sel dans les yeux
Et souvent, me revient le jour de tes adieux au monde
Depuis, je vais
Et je vais le plus haut possible imaginer
Je vais où l'on se perd pour mieux te trouver
Tu me réponds de nouveaux sourires
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Tes lèvres chuchotent de terribles secrets ce soirLa nuit est belle, la lune basse et ronde,
Elle sourit et sa lueur inonde
Le ciel d’une clarté empreinte de douceur
Tous ces sentiments, toute cette tendresse
Endorment doucement mon angoisse, mes peurs,Me font frissonner et rappelle à mon cœur
Tes plus doux baisers, amoureux, ceux qui durent,
Des plus furtifs, rapides, osés, crus ou discrets,
Et laissent s’épanouir les désirs de mon coeur
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Laissons nos pensées dériver sur des dunes de sable chauds,
Vers une ville drapée dans les couleurs du désert,
Où des artisans travaillent assis sur des tapis tissés à la main,
Et où la musique du luth se mêle
Aux odeurs des épices dans le vent brûlant
Cela nous amène aux portes de Marrakech
La perle du désert.
C'est de là que j'arrive.
Heureuse de vous retrouver
J'espère que vous allez tous bien...
et que ces fêtes de Pâques se sont bien passées
là où nous étionx il n'y a pas de Pâques of course....
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