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    Le droit à l'alimentation est un des principes proclamés en 1948 par la Déclaration universelle des droits de l'homme.

    La Déclaration sur le progrès et le développement dans le domaine social précisait en 1969 qu'il faut « éliminer la faim et la malnutrition et garantir le droit à une nutrition adéquate »

     De même, la Déclaration universelle pour l'élimination définitive de la faim et de la malnutrition, adoptée en 1974, déclare que chaque personne « a le droit inaliénable d'être libérée de la faim et de la malnutrition afin de se développer pleinement et de conserver ses facultés physiques et mentales ».

     En 1992, la Déclaration mondiale sur la nutrition a reconnu aussi que « l'accès à des aliments nutritionnellement appropriés et sans danger est un droit universel »

    Il s'agit d'indicateurs très clairs.

     La conscience publique a parlé sans ambiguïté.

     Pourtant des millions d'individus sont encore marqués par les ravages de la faim et de la malnutrition ou par les conséquences de l'insécurité alimentaire.

    La cause réside-t-elle dans le manque de nourriture?

     Absolument pas: il est généralement admis que les ressources de la terre globalement considérées peuvent nourrir tous ses habitants

     en effet, les aliments disponibles par habitant au plan mondial se sont accrus de 18% environ au cours des dernières années.

    Alors ???

     

     

     


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    Un été,

     

    Un jardin en fleurs,

     

    Des arbres à la verdure épaisse...

     

    Une harmonie soudain déchirée par des éclairs,

     

    Bouleversée,

     

    Abreuvée de torrents d'eau

     

    S'abattant sur la terre.

     

    Déchaînement inattendu,

     

    Subit, effrayant et délicieux...

     

    Puis de nouveau l'harmonie retrouvée,

     

    La fraîcheur cristalline,

     

    Des éclats de soleil dans les feuilles,

     

    Le ramage des oiseaux...

     

    La nature, au fond, est si humaine...   

     

     

     


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    LA ROSE ET LE RÉSÉDA    ARAGON.................

     

     




     Tous deux adoraient la belle prisonnière des soldats
    Lequel montait à l'échelle et lequel guettait en bas
    Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas

    Qu'importe comment s'appelle cette clarté sur leur pas
    Que l'un fut de la chapelle et l'autre s'y dérobât
    Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas

    Tous les deux étaient fidèles des lèvres du cœur des bras
    Et tous les deux disaient qu'elle vive et qui vivra verra
    Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas

    Quand les blés sont sous la grêle fou qui fait le délicat
    Fou qui songe à ses querelles au cœur du commun combat
    Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas

    Du haut de la citadelle la sentinelle tira
    Par deux fois et l'un chancelle l'autre tombe qui mourra
    Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas

    Ils sont en prison lequel a le plus triste grabat
    Lequel plus que l'autre gèle lequel préfère les rats
    Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas

    Un rebelle est un rebelle deux sanglots font un seul glas
    Et quand vient l'aube cruelle passent de vie à trépas
    Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas

    Répétant le nom de celle qu'aucun des deux ne trompa
    Et leur sang rouge ruisselle même couleur même éclat
    Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas

    Il coule, il coule, il se mêle à la terre qu'il aima
    Pour qu'à la saison nouvelle mûrisse un raisin muscat
    Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas

    L'un court et l'autre a des ailes de Bretagne ou du Jura
    Et framboise ou mirabelle le grillon rechantera
    Dites flûte ou violoncelle le double amour qui brûla
    L'alouette et l'hirondelle la rose et le réséda

     

     

     


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    Suivons  les méandres de la collusion de tous ces phénomènes qui

    existent

     

    Le soleil brille et puis tombe la pluie!

     

    Les rires naissent,  les sourires sont effacés par la pluie,

     

    Les larmes, les pleurs, déclenchent tempête, tonnerre, éclairs.

     

    Telles des vagues, enroulées dans un tapis d’écume, ces vibrations

    sont projetées dans le vide pour agoniser dans le néant.

     

    Combien de traversées ont-elles vécues ces vagues?

     

    Les rochers ne refoulent pas leurs contacts onduleux

    leurs caresses pressantes,

     

    Leur  frottement est voluptueux mais ils ne se laissent point bercer

    d'illusion

     

    Ils savent depuis la nuit des temps que, les faveurs prodiguées par

    ces aller et retour sont naturels et abstraits,

     

    D’une résistance intouchable, impitoyable.

     

    Néanmoins malgré son encerclement, la vague engage

    naturellement le déroulement.

     

    La vague est et demeure vague, tout comme le rocher est et

    demeure rocher.

     

    Leurs différences communient à la même table, celle de l'absolu.

     

    Leurs contraires sont en apparence concrets.

     

    Cependant leur complémentarité subsiste dans le germe de la

    connaissance de la réalité suprême qui règne et guide cette

    existence malgré nous .....mais pour nous tous.

     

    Chaque instant, la vie et la mort se côtoient, tout comme la haine et

    l'amour s'affrontent...

     

    Et finissent par se confondre

     

    L’essence qui les anime est identique afin de protéger leur intimité.

     

    Le jour  et la nuit sont différents par leur clarté et pourtant le

    mystère absolu de la nature les gratifie des mêmes égards.

     

    Sans l'un il n'y a pas l'autre!

     

    L'identité de chaque être est indestructible

     

    Peu importe l'espèce, humaine végétale, animale,

     

    Nous vivons sur cette Terre ensemble.

     

    Qu'on le veuille ou pas, nous avons tous besoin des autres.

     

    Notre résistance à comprendre est limitée.

     

    Soyons fervents d'humilité sans humilier l'autre

     

     


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  • LOIN.....................

     

     

    Loin d’ici  

    Le jour, la nuit

    Mes rêves suivent tous mes désirs  

    Loin, plus loin que l'au delà 

    Un grand sommeil fragile

    Passion facile

    Sans prendre le temps de suivre le vent

    Ne plus rien voir

    Ne plus rien croire

    Une porte s’est refermée sur notre passé

    Dois-je bien  comprendre ce geste étrange ?

    Manque d’émotion

    Manque de protection

    Ne plus rien dire

    Ne plus rien vivre

    Sur notre vie passée 

    Faut-il tout oublier ? 

    Puis je espérer que ces désirs reprennent vie ?

    Loin d’ici ..... 

    Je voudrais toujours croire à cette histoire

    Loin d’ici....

     

     


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    LE BAL DE TIEPOLO... Venise...............

     

     

     

    Un bal dans le palazzo Pisani Moretta

    Bal dédié au grand peintre Tiepolo qui réalisa les fresques

    du salon de ce palazzo

    Des chandelles  illuminent les chandeliers lourds en verre de Murano

    Des reflets mystérieux  voguent au fond des miroirs antiques

    Des reflets dorés sur l’eau du Grand Canal

    Des orchestres joueront (l’un classique

    l’autre moderne) , jusqu’à l’aube

     Resplendissant dans leur costume historique

     Les invités assisteront au Bal du Carnaval

    dans le monde magique du 18ème siècle vénitien 

    A la lumière de centaines de chandelles du palazzo Pisani Moretta,

    Façade donnant sur le Grand Canal, et orné de fresques du Tiepolo,

    Plus de cinquante artistes captiveront l’attention

    Pendant le cocktail et le superbe repas.

    --------

    On a l’impression d’être passé de l’autre côté du miroir

    Dans un monde étrange et onirique....

     

     

    LE BAL DE TIEPOLO... Venise...............

     

     


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    APPARITION.......................

     

    Partition de musique

     

    Aux accords  ténébreux 

     

    Quelle  sublime apparition...

     

    Toi ........je t'ai vu esquisser


    Un pas de danse


    Dans le soleil éclipsé 

     

    Sous  le cerisier


    Que je n'ai pas dans mon jardin 

     

    Arbre magique


    Magie d'une vie


    Séquence

     

    Bonheur 

     

    Rien d'autre ne pourrait être 

     

    Sinon l'infini de la non-existence 

     

     


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    Où en suis-je ?

    Que s’est-il passé dans ma vie

    Qui suis-je et comme en être arrivée là ?

    La fille que j’étais me manque

    Je veux retrouver ma place

    Me sentir de nouveau moi

    Avoir de vrais amis

    Ceux qui l’on peut compter

    Çà me manque, tu me manques

    D’ailleurs tout me manque

    Je veux ma vie d’avant

    Je veux te retrouver comme autrefois

    Te sentir auprès de moi

    J’ai besoin de toi moi aussi

    Je sais que tu as souffert

    Mais tu ne sais pas à quel point ta disparition me fait mal

    Te savoir parti à tout jamais est une disparition

    Un soir nous étions ensemble

    Et le lendemain tu n’étais plus là

    Tu me manques, c’est dur sans toi

     


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