Une petite pause week end

en famille

Je vous souhaite bon week end

Egalement

A lundi

bisous à tous

Ozy

 

 

Je suis comme une fleur

Qui se pose sur tes pleurs

Quand la joie illumine tes sentiments

Je suis là, heureuse très discrètement

Lorsque soufflent les vents méchants

Je suis là.... tout naturellement

Lorsque étincelle ta vie

Je suis là.... sans jalousie

Quand le malheur te foudroie

Je suis là, cela va de soi

Je suis là mon ami, à chacun de tes pas

Je suis même là si tu ne me vois pas

Je suis fidèle et présente

Rayon de soleil

Je colore ta vie d’or et de vermeil

Ouvrant tes yeux sur ces merveilles

Je serai je crois, toujours présente pour toi

Fidélité telle est ma devise,  ma loi

Amitié est mon prénom

Amitié ne dit jamais non

 

 

J’ai appris avec le temps, que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui.

La vie   continue et les choses iront mieux demain.

J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie.

 J’ai appris la différence entre « réussir dans la vie» et « réussir sa vie».

J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.

 J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper.

Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.

J’ai appris que lorsque je décide avec mon coeur, c’est généralement une bonne décision.

J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.

J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.

Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras, ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.

J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait.

  

  

 

 

 

Battue, regard  innocent

Orage passé,  émotions partagées

Enfermée  dans son rêve imaginaire cassé

Souffrance d’une enfance volée

Solitude recherchée pour survivre et exister

Union d’amour, d’amitié pour  douleur apaiser

Renaitre un jour de ses cendres

Pour engendrer un bonheur si longtemps refusé

 

 

 

  

 

Je vous donne la primeur, l’album sort aujourd’hui mais je l’ai déjà...

Chanson pour sa maman décédée il y a peu, une merveille de sensibilité

    

  

Première question qu’on se pose :

Comment cacher les roses,

Jeter les chrysanthèmes

Les cardinaux, les apôtres

Ne seront pas des nôtres

Pour aborder ce thème

 

Les yeux clos, le ton sévère

Les mains froides sur le drap

Dehors la neige exagère,

Y’ a des jours  tout m’exaspère

Tu as passé la frontière

La première, on  reste là

Les bras lourds comme des pierres

À soupeser le mystère

 

La chapelle au clair de lune

Entourée de bitume et de supermarchés

Les jours anciens n’ont plus court

La neige tourne autour et la nuit va tomber

 

Rendez-lui tous ses livres,

Ses matins de soleil....

Rimbaud,  Le Bateau Ivre...

L’acier bleu des prunelles....

On est au bout du monde,

Un souffle suspendu

 

Une humeur vagabonde

Ma mère qui n’est plus...

 

Pas de tragique ordinaire

Pas même un cimetière

Juste de la fumée ,

 

Tu dois te sentir légère

Tournant au vent d’hiver

À jamais libérée

 

J’écris  la chanson promise

Pas la valse des regrets

Comme le cœur sous la chemise

Avant que ma voix se brise

 

Voilà sans fleur ni couronne

Un refrain que l’on fredonne

Quand on ne connait pas la donne

Peut être tu l’entendras....

 

Tu dois te sentir légère

Tournant au vent d’hiver

À jamais libérée........................

 

 

 

Bien après la fin de la Terre

La Lune   telle que nous ne la verrons jamais

 

Se peupla de murmures vivants...

 

Ce fut l'âge blond des tiédeurs et des vents.

Ses mers furent sans fond et ses  fleuves sans nombre,

Des pleurs, des cris joyeux

 

Des villes étranges

 

Des animaux bizarres

 

Il y eut aussi l'amour et aussi  les enfants

 

La Lune eut ses arts et puis aussi ses lois,

 

Elle eut ses dieux bien sûr

Et peu à peu avec le temps qui passait ....

 

Tout se termina... trop d’abus...

 

Lentement  tout rentra dans l'ombre

 

Comme la terre avant elle.......

  

L'univers devint noir.....

 

 

 

 

  

Le serpent partit  en vitesse

Le regard qu’il me lança

                                Resta sur les feuilles

 

 

Connaissez vous les barkhanes,

Ces dunes veloutées et  régulières

A la forme d’un croissant allongé

Elles s'élèvent sous la puissance du vent

Et dans une seule direction

Dans les déserts les plus arides

Riches et mystérieuses

Elles nous enveloppent dans leur chaleur

Et nous rêvons,

Et nous rêvons inlassablement

A une autre vie ....

Comme par exemple être ces fiers hommes bleus

A cheval, un fier cheval arabe...

Ou la favorite du harem

Pourquoi pas ? mais là plus compliqué

On risque sa vie (mourir empoisonnée... )

A chaque minute

Ah ! Jalousie : tu existes bien sous  chaque cieux.....