Je suis obligée de faire une autre pause pour la même raison : ma sœur

J’espère que cela durera moins longtemps

Çà s'arrange à petite vitesse mais cela a été une grosse opération

et elle a besoin d'aide... en dehors de l'aide ménagère, je vais chez elle le soir.. ce qui me fait rentrer tard.. et HS

je vous embrasse à bientôt

 

Ozy

 

 

  

 

                          En déroulant ce parchemin

Vous lirez

Ce que ma plume en dessinant

des pleins et  des déliés

Y a déposé  comme mots un peu fous

et échevelés.......

 

Les petits et les grands bonheurs de la vie

La beauté de la nature

La joie d’entendre un oiseau

De voir un enfant jouer

 

La joie de recevoir des amis

De m’entendre dire par l’un d’eux

« tu es belle »

Sous l’œil soupçonneux de mon mari

 Le joie de rire

 

Le bonheur d’être en vie simplement

Le bonheur d’être moi tout bêtement

D’être heureuse dans ma famille

 

D’être en été, d’être en hiver

Une vie simple, une vie vraie

Sans compromis, j’en ai horreur

Comme des contraintes d’ailleurs

 

   A mon oreille, ils chantent

Sur cette page immaculée

Je les déverse avec emphase

Ils courent, ils courent...

 

J’espère qu’ils vous enchanteront  

Et ils vous souriront

 

Je survivrai dans votre esprit à  ces écrits

Oh ! Avec humilité

 

Vous les lirez .......

J’ai aimé pour vous,   les écrire

 

Le temps d’un sourire......

Vous vous rappellerez d’Ozy

 

 

 

 

 

 

 

On peut suivre sur le rideau

L’amour s’en va………

Toujours est-il…

Un piano à queue…

Tout se perd,

Au secours !!!!………

L’arme de précision ?

 

Des fleurs 

 

Dans la tête sont pour éclore

Coup de théâtre !!!!!!!

La porte cède,

La porte c’est de la musique !!!

 

 

 

 

André Breton

 

 

 

 

 

 

Du lierre  danse autour

 

De la fontaine de pierre

 

Dans le jardin où je suis assise

Je pense à  nos bouches gourmandes

 

Qui se cherchaient .......

 

Il  y a longtemps..... trop longtemps...

 

 

 

 

 

 

 

 

Le rire et le sommeil

 

 

Sont les meilleurs

 

 

Remèdes  du monde

 

 

 

 

 

 

(proverbe irlandais)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle, rappelle-toi comme elle est belle
Et touche-la : elle sent le sel
C'est un don miraculeux
Elle, c'est la naissance de la gabelle
C'est l'oubliée des infidèles
A la terre des futurs vieux

Rien que de l'eau, de l'eau de pluie
De l'eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel
Sur les toits rouillés de Rio

Toi, tu te caches dans les ruelles
Et comme un païen qui appelle
Les Dieux pour qu'elle t'inonde
Elle, oh tu sais elle a le temps
Elle est là depuis mille ans
Elle te suit comme une ombre

Elle, en attendant l'orage
Elle te pardonnera ton âge
Et l'argent de tes cheveux
Elle, tu ne peux pas te passer d'elle
Tu ne vivras jamais sans elle
Tu n'auras que de l'eau de tes yeux

 

 

   

 

 

Cœur  ouvert

  

Eléments déchaînés

Elan éternel

Se  frayer un passage

L’univers entre les mains

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je dois faire une pause pour raison familiale

 

Ma sœur a été opérée  hier après midi d’une péritonite infectée

 

Je vais la voir en sortant du bureau et les jours de congés

 

Je ne sais pas quand elle sortira de l’hôpital

 

Je reviendrai dès qu’elle n’aura plus besoin de moi 

 

Certainement la semaine prochaine

 

Bisous à tous

 

Ozy

 

 

 

 

 

 

Sais-tu ce que tu cherches ?

 

Ce que tu attends ?

 

Quelle est la réponse derrière laquelle tu cours, tout au long de ta vie ?

 

Cherches-tu une meilleure image de toi même ?

 

Cherches-tu l’amour ?

 

La paix ?

 

Cherches-tu l’âme sœur ?

 

Celui ou celle qui saura effacer ton indicible solitude ?

 

Cherches-tu une réponse au secret de la mort ?

 

 

 

 

N. Flamel (extrait)