En général, ce sont les souvenirs les plus lourds à porter qui vous reviennent le plus facilement en mémoire.

 

Ces souvenirs là ont le pouvoir de changer une vie de manière fondamentale et de façon définitive.

 

Peu importe que vous réussissiez à vous en débarrasser ou non, , ils auront laissé en vous des traces indélébiles.

 

 

 

 

Pénélope est une femme. C’est là l’essentiel de sa caractérisation.

Elle écrit des fulgures, textes d’une à trois pages.

 Célibataire (même quand elle ne l’est pas), proche de la trentaine,

 

Elle réalise avec  humour   une mise au point sur les plus belles années de sa vie.

 

 

 

 

 

Ses histoires d’amour toujours plus réussies sont tellement surprenantes qu’elle ose les raconter intégralement sans peur des reproches.

Elle vous raconte aussi  les malheurs de sa vertu à travers ses rencontres d’hommes, toujours plus  déroutants, plus insolites pour sa jubilation égoïste.

Elle a en réserve,  plein d’autres histoires en stock dans sa petite tête de blonde

Bien sûr, aucune de ses  histoires n’est libre de droit... pas vénale, Pénélope…

 

Elle est juste parfaite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le printemps  !

 

Saison des amours,

 

Saison folle

 

 

 

Tendresse et  rêve mêlés

 

Saison qui  vous chavire 

 

Impression de passer de nuage parfumé en nuage parfumé

 

Allégresse

 

 

 

 

 

 

photo prise à la Nouvelle Orléans en avril 2010

 

 

 

 

 

 

 

 

J'ai rencontré Pascal sur un court......

 

Lieu sportif sain fréquenté par des gens sains…en principe… en occultant l’exception qui confirme la règle…..

 

Mais le rentre-dedans avec Antoine a commencé dans le métro, lieu mal famé par excellence?

 

Je sais, rien à voir......

 

Il m'avait repérée à travers la porte encore fermée, a voulu entrer alors que je sortais.

 

On était déjà en phase.

 

Il m'a fait remarquer l'attraction que nos corps exerçaient l'un sur l'autre et m'a proposé un dîner libertin le lendemain de notre rencontre, d’emblée….

 

C'est merveilleux la diversité humaine !

 

Cà m'a réconciliée avec les hommes…..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je prends quelquefois le métro et  j'aime observer les passagers qui montent et je n'ai pu hier soir m'empêcher de plaindre une femme,

Talons aiguilles et des jambes interminables, un corps splendide mais un port de tête hautain.

 Elle monte  et jette un regard dédaigneux sur les autres passagers qui arrêtent subitement leurs conversations. 

 Je me suis fait la réflexion suivante :

 

cette femme est belle et on ne voit d'elle que sa  beauté, si éclatante et si évidente qu'elle voile toutes les autres qualités qu'elle pourrait posséder.

 Est-elle intelligente, douce ou sensible ?

 

Je ne sais pas, car comme les autres passagers, je ne vois que ses jambes, ses lèvres et ses grands yeux.

 

Elle se protège peut être et ne s'autorise à être tout simplement  elle même  ???

 

 Une trop grande beauté extérieure peut cacher ce que nous possédons à l'intérieur...

 

 Nous qui nous plaignons de ne pas être beaux ou parfaits comme des icônes nous devrions songer que plus on est beau, plus on doit faire d'efforts pour montrer qu'on possède aussi d'autres qualités.... des qualités humaines

 

 La beauté, contrairement à ce que l'on croit souvent, peut être un sérieux handicap.

 

 Elle ferme davantage de cœurs qu'elle n'en ouvre.

 

 En tout cas c'est mon avis......   et le vôtre ???

 

Ozy

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Julie n'est pas malade...

 

 Elle est victime du syndrome de Münchhausen par procuration.

 

« Ma mère, mon bourreau »  est le récit d’une enfance, enfance volée par une mère souffrant d'un besoin maladif d'attention.

 

Un témoignage poignant…

 

Petite fille perdue dans un monde d'adultes impressionnants, vivant dans un cercle familial  destructeur, elle apprendra vite qu'il vaut mieux faire ce qu'on lui dit.

 

Elle nous raconte le passé de cette mère en cherchant peut-être des excuses à son comportement  car elle va se rendre compte bien plus tard qu’elle a besoin de l’amour de celle-ci meme si ….

 

La rencontre de celle-ci avec celui qui sera le père de Julie, homme au lourd passé émotionnel (guerre)

 

Nous assistons sans étonnement à la détérioration des relations familiales, à la suite d’une escroquerie aux assurances, au traumatisme de cette gosse suite à la mort de son petit chien brûlé vif.

 

Ses parents divorcent  et sa mère  sombre ce plus en plus  dans les problèmes psychologiques, la manipulation et la maltraitance.

 

Mais les problèmes de sa mère ont bien d'autres façons de se manifester :

 

Ne pas s'occuper de l'alimentation de ses enfants, ...

 

  Accueillir des enfants de l'aide sociale pour les martyriser,

 

Rabaisser constamment son mari pour le mettre en colère et pour qu’il batte ses enfants

 

Des éléments tous plus horribles les uns que les autres qui font partie intégrante du quotidien de Julie.

 

Il nous arrivera de trouver un peu d'humour au détour d'une page, mais rarement.

 

N’oublions pas que Julie est une jeune enfant, et malgré  les conditions de sa  vie, elle s’amuse, fait des bêtises et se défoule  comme tous les enfants

 

C'est une histoire qui m'a beaucoup touchée, racontée sans fioriture par Julie elle-même qui a obtenu un diplôme en psychiatrie

 

Vie hors normes et douloureuse, rythmée par des évènements incroyables, plus souvent négatifs que positifs.

 

Sans jamais sombrer dans le mélodrame, ne nous tirant jamais de larmes Julie Gregory apporte un témoignage poignant et intéressant.

 

Je recommande ce livre que j’ai beaucoup aimé.

 

Ozy

 

 

 

 

 

 

Solitaire au milieu de la voûte étoilée
La lune se reflète dans le  miroir du lac.
Je suis là dans mes rêves figée, hypnotisée,
 
Voix lactée, voix des rêves, chemin d’éternité.
Miroir du lac troublant, aux frissons émouvants. 
 
La lune se défait en cent dessins mouvants.
La lune et l’eau sont autant de voyages,

Ils déploient sous mes yeux ces rêves, ces mirages,

Mes images glanées dans mille et une nuits

 

Refoulent tous les monstres avec leur usufruit.

 

 

 

 

 

Mer démontée

 

Bateaux ivres

 

 

 Peur