La nostalgie déjà s'installe
L'été encore une fois
Glisse dans l'oubli
Du temps qui s'en va. 

 

 

 

Se laisser emporter
Dans ce ciel pâlissant,
Sanglot d'un rêve d'été
Au vent frissonnant.

Ces délices de l'automne
Où le soleil me parle de toi,
Ainsi le poète s'abandonne
À l'ombrage de ton toit.

Les mots en cascade
D'amour et de tendresse.
Un poème, une aubade
Et, je suis cette caresse.

 

 

                         

 

 

 

   

 

Il n’a ni foi ni loi, et alors ?

 

Certaines batailles valent bien quelques coups bas.

 

 Il tisse dans l’ombre la toile de sa séduction et ses victimes s’y prennent avec délice.

 

 Amis, amants, qu’importe : on ne trahit jamais que ceux qu’on aime.

 

 Fidèle à ses désirs uniquement, le traître prend tout le monde par derrière , mais au moins ne se ment-il pas à lui-même.

 

Lucifer au visage d’ange, il a érigé sa cupidité en Bible, et en connaît les lois sur le bout des lèvres.

 

Qui l’embrasse signe sa perte  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’histoire regorge de traîtres sublimes, érigés en héros : que seraient

 

Caïn sans Abel,

 

César sans Brutus,

 

Cinna sans Auguste,

 

Samson sans Dalila,

 

Remus sans Romulus ?

 

 

 

 

 

J'en ai choqué  certainement  plus d'un, d'une.. demain cela sera plus soft je vous promets  

 

 

 

 

 

 

 

 

Certaines gens, plantés

 

devant leur miroir croient qu'ils

 

 

 

 

 

réfléchissent alors que c'est  le

 

contraire .............

 

 

 

 

 

 

 

Mais tu n'es pas le Bon Dieu

Toi, tu es beaucoup mieux

Tu es un homme.  

 

 

                       J.Brel

 

 

 

 

 

Je connais gens de toutes sortes

 

Ils m'égalent par leurs destins

 

Indécis comme feuille morte

 

 

 Leurs yeux sont des feux mal éteints

 

 

 

Leur cœur bouge comme leur porte

   

 

               Marizibill (extrait )

                                     G. Apollinaire

 

 

 

 

Aujourd'hui, je vais vous parler d'un joaillier de luxe, que j'adore, hors normes certes, mais magicien des pierres de luxe, artiste dans l’art de l’assemblage baroque...

 

Bien plus qu'un joaillier, c'est d'un artiste à part entière que je voudrais vous parler...    

Chacun de ses bijoux est une oeuvre d'art , une petite merveille au goût baroque et raffiné, souvent commandé par de grands couturiers comme Dior ou Chanel, ils sont fabriqués en petites quantités

 

Codognato est un magicien qui s'est penché sur le cas des "Vanités"

 

(vous savez, la représentation d'une tête de mort aux côtés d'une jeune fille, sensée nous rappeler la fuite du temps , le caractère éphémère des choses...) il est bon quelquefois de le rappeler .... aux écervelées

"Vanité, tout n'est que vanité..."

 

Oui , mais lorsque l'Art s'en mêle, l'éphémère a un caractère d'éternité... (cette bague chez Corpus Christi)

 

Son imagination sublimée, inspirée par l'histoire de Venise, se traduit par des bracelets serpent en pierres précieuses, pendentifs à camée réversible et pierres précieuses (à se damner, d'ailleurs je me damnerais...si ce n'était déjà fait ....), colliers doubles à pendentifs ésotériques, broches à têtes de Maures en perles et diamants...

 

 

Bref, tout est conçu pour vous faire perdre la tête... si bien sûr votre portefeuille est bien garni, sinon regarder est aussi  une débauche des sens.

 

Je vous laisse le lien précieux ( soyez patiente... plutôt sur FIREFOX ), sur lequel vous pourrez prendre connaissance de ces

merveilles : 

 

http://www.luxuryculture.com/goto/url/w/magazine/0/0/0000004/0000519

 

Usez et abusez de vos yeux, c'est la seule chose gratuite chez Codognato ... ayez l'air riche et blasé ....

 

Disséquez chaque objet cela vaut la peine d’y passer un moment.

 

Codognato ......n’oubliez pas si vous passez par  Venise …. Au moins pour regarder ….. comme je l’ai fait .. on est femme ou pas …..

 

 

 

 

 

 

Je suis la vague, je glisse sur l’écume des jours sans jamais m’arrêter…

                 

 Je suis la vague, je surplombe le mouvement perpétuel de la vie…

 

 

 

Je suis la vague, je glisse, j’ondule  et je meurs sur la plage…

 

Je suis la vague, toujours retrouvant la voie magique des courants...

 

 

 

                                                                                                    

 

 

 

En automne, chaque jour
Naît une chose qui est amour

C’est une branche, tout à coup,
Qui s’effeuille dans votre cou.

 

Un petit arbre tout rouge

Un d’une couleur or

Et puis partout ces feuilles jaunes

Qui tombent sans que l’air ne frissonne

 

 

 

J’adore cette saison

 

Ou la nuit arrive tôt

 

 

 

Rentrons vite à la maison

 

  Sous la cendre rôtir nos marrons